mercredi 24 octobre 2012

Grants, Nouveaux-Mexique




Encore bien dormi. Comme prévu aujourd'hui sera une grosse journée. Nous désirons traverser le parc national de El Malpais pour essayé de nous rendre à Socorro. Pour se faire nous allons emprunter des routes secondaires et traverser une région moins habité. Avant de quitter Grants, le plein d'essence oblige.

Nous quittons vers 09:30hre. revenons sur notre route jusqu'à l'entré du parc El Malpais et départ a l'aventure par la route 117. Surprenant c'est une route pavé de deux vois et très bien entretenu. Nous nous rendons au premier poste de ranger pour obtenir de l'information, par malchance il n'y a personne, mais nous en profitons pour emplir notre réservoir d'eau potable.

Nous reprenons notre route en longeant à notre gauche, les  montagnes de la réserve indienne Acoma, et a notre droite, de grands champs de pierres volcanique. En réalité il 'agit de coulés de lave provenant du volcan Bandera, dont le cratère est situé plusieurs milles au nord du parc. Ces coulées de lave sont facilement repérable dans les champs, on dirait une marée subitement saisi sur place. Mais une marée de pierre noir. Une marée qui se serait buté à la montagne.

Le temps est beau, le soleil est chaud, la route est a nous, la circulation est pratiquement inexistante. Sur notre route un panneau nous invite a un détour dans un chemin poussiéreux, pour aller voir les Sandstones Bluff. Habituellement lorsqu'un panneau des parc nationaux vous lance ce genre d'invitation, ce n'est pas du bluff (ce jeu de mots était trop facile).

Après une randonné dans ce chemin poussiéreux, nous arrivons sur les hauteurs, a l'extrémité d'une falaise. Nous sommes arrivé aux Sandstones et nous comprenons pourquoi ce lieu porte ce nom. Cette montagne est formé de pierre de sable beige, arrondi par le vents. On croirait admirer un tableau a la Picasso. Leurs formes nous permette de marcher sans peine sur les hauteurs, d'approcher le bords de la falaise pour admirer le parc El Malpais et, dans ressentir toute son immensité. De ces hauteurs la vue est.....plus rien ne peut être rajouté, tout a été dit. Même nos photos ne peuvent d'écrire la scène, se ne sont que de pâles copie de se que nos yeux ont admiré. Nous quittons avec regret ce site enchanteur.

Retour a la route principal, a gauche les montagnes, a droite la coulée de lave. Quelque milles plus loin, un autre panneau nous invite a voir la Ventana natural arch. Celle ci nous pouvons la voir de la route principal. Elle est grandiose. Il s'agit d'un gigantesque trou, en forme d'arche,  creusé par la pluie et les vents a même la roche le la montagne. La nature en est le maître artisant. Seul une marche nous conduisant aux pieds de ce géant, nous permet d'en admirer pleinement l'oeuvre. Un autre chef d'œuvre que nous ne pouvons apporter avec nous. Nous devons nous contenter de pales copies reproduites.
Quelque milles plus loin, la coulée de lave nous quitte. Ici c'est terminé ça course, voilà des milliers d'années. Mais nous notre course continue. Les montagnes s'estompes, ou commence les prairies arides.
Nous retrouvons ces paysages de déjà vue, mais toujours intéressants. Nous sommes au farwest, de grandes prairies avec de temps a autre un arche de bois indiquant le nom d'un ranch, ranch que nous n'en voyons que très rarement les bâtiments. La route 117 nous conduit a la route 36 qui elle nous conduit a la route 60.

Enfin arrivé a Quemado, petit village au bout de nul part. Le vrai petit village du farwest avec, son bureau du shérif, la petite cabane carré, avec inscrit près de la porte " Magistrate-Court " et l'auto du shérif à cotė. Le bureau des postes de l'autre côté de la rue également genre, petite boîte carré. Et, évidemment, ces commerces abandonnés.

Après dîner et une petite pause, nous reprenons notre chevauché, (ça fait plus farwest de dire ça) direction Pie Town (mais ça, sa fait moins farwest) sur la route 60. Nous traversons le village de Omega sans en avoir conscience. Pie Town, au plus vingt maisons, a oui il y a son musé de éolienne à eau que l'on voie de la route. Continuant notre chevauché, nous entrons dans la forêt national Cibola et ressortons a Datil. Datil petite village qui n'a rien a envier aux autres, excusez-moi, mais il 'y a rien ici.
Quittant Datil nous retrouvons les prairies et les routes droites a pertes de vue.

C'est ici que nous retrouvons la route la plus droite et plats que nous n'ayons jamais utilisé. J'ai bien dit droite, comme une ligne trace à la règle et plat sans la moindre petite bosse. Nous en avons pour 23 milles de distance, sans habitations, sans arbres, seul quelque bétails et antilopes comme distractions.
Ils appellent ce lieux, les plaines de San Agustin. Ici se trouve le national radio astronomy observatoire. On peu y voir au loin de gros télescope blanc.

Encore plusieurs milles et nous arrivons a Socorro. Enfin arrivé, la journée a été longue et nous sommes fatigués. Nous voulions trouver un coin pour une trempette, mais, jamais dans la journée, nous avons vue de cour d'eau, beaucoup de ruisseau sans eau et de ponts sans ruisseaux.

Pour résumé en quelque mots la soirée, Walmart, souper, bonne nuit. 336km parcouru.

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