JOUR 162
Il a plut cette nuit et c’est nuageux ce matin, Qu’importe nous retournons à Ocean City nous promener sur le boardwalk en vélo. La promenade est agréable malgré qu’il y a encore des vents fort (les mouettes, préfèrent marcher plutôt que voler). Mais l’important, il ne pleut pas.
Après 1h 30 de vélo. Nous reprenons le boulevard principal, la route 528 NORD qui traverse Ocean City et nous arrivons à la limite de l’état du Maryland, nous sommes maintenant dans l’état du Delaware. Pour ceux que ça pourrais intéresser, le Delaware est la première état à joindre l’Union lors de la créations des États-Unies. Nous continuons sur la route 1 NORD direction Lewes, nous allons prendre le Ferry pour traverser la baie du Delaware et nous rendre a Cap May au New Jersey. Notre ferry part à 14 :45hre. Nous sommes resté au Delaware environs trois heures. Notre traversé doit durer 85 minutes. En quittant le port, le bateau se met à tanguer, et pas un petit peu, nous sommes à l’intérieur sur le 2e dec, et des fois le bateau penche tellement de coté que nous ne voyons plus l’horizon, nous ne voyons que l’eau d’un coté et le ciel de l’autre coté. Une autre dure journée pour mon moussaillon (Manon), elle ma jurée, qu’elle ne reprendra plus de bateau du restant du voyage. Nous débarquons à Cap May au New Jersey et que croyez-vous que nous avons fait, on s’est arrêté dans un grands stationnement pour prendre une marche et se remettre l’estomac d’aplomb. Nous trouvons notre camping préféré à Rio Grande tout près de Cap May, aujourd’hui on va pas plus loin.
jeudi 30 septembre 2010
mercredi 29 septembre 2010
29 septembre 2010
JOUR 161
Très bien dormi. Ce matin comme prévu c’est l’entrainement au YMCA de Onley. Ce n’est pas un très grand gym, mais il est beau et très bien équipé. Manon et moi étions possiblement parmi les plus JEUNES dans la place. En sortant du gym, la pluie c’est remis à tomber. Nous reprenons alors la route 13 NORD et traversons les limites de la Virginie et entrons au Maryland.
Après quelque miles nous bifurquons pour nous rapprocher de la cote par la route 113 NORD. Nous nous arrêtons dans la ville de Berlin, pour diner et une pause. Ici ils ont un quartier historique qui vaut le détour, des commerces et maisons anciennes biens conservés. Après diner nous reprenons notre route en empruntant la route 50 EST qui nous conduit directement sur la plage de Ocean City. Nous quittons notre véhicule pour une grande marche. Il y a un boardwalk de 3 miles de long et la plage à 10 miles.
C’est une autre très belle plage d’un beau sable fin et propre, comme Virginia Beach, à la différence qu’ici il y a beaucoup de magasin de gugusse, je dirais même il y en a en maudit, et des manèges (grand roue, montagnes russe, etc.) des restaurant de toute acabit et des hôtels pour tous les prix. Les fins de semaine, ça doit être bondé de monde.
La mer est agitée, il y a beaucoup de vent, pas question de ce baigner, mais le grand air nous fait du bien.
Après notre promenade nous prenons notre véhicule pour visiter la ville. La ville est construite sur une péninsule de 10miles de long mais seulement large par environs ¼ de miles de large, C’est vous dire il y a 5 rues qui traverse la ville du SUD au NORD, mais il y en a 145 qui la traverse d’EST en OUEST. Tout au long du boulevard principal qui traverse les 145 rues, il n’y a que motels, restaurants, magasins et ce qui semble être leur sport national, des terrains de mini-puts j’en ai compté 9 sur le boulevard. Cette ville est beaucoup un parc d’attraction qu’un centre de villégiature. C’est beau à voir, mais, une seul fois. Nous sortons de la ville pour trouver un endroit plus tranquille pour dormir.
Très bien dormi. Ce matin comme prévu c’est l’entrainement au YMCA de Onley. Ce n’est pas un très grand gym, mais il est beau et très bien équipé. Manon et moi étions possiblement parmi les plus JEUNES dans la place. En sortant du gym, la pluie c’est remis à tomber. Nous reprenons alors la route 13 NORD et traversons les limites de la Virginie et entrons au Maryland.
Après quelque miles nous bifurquons pour nous rapprocher de la cote par la route 113 NORD. Nous nous arrêtons dans la ville de Berlin, pour diner et une pause. Ici ils ont un quartier historique qui vaut le détour, des commerces et maisons anciennes biens conservés. Après diner nous reprenons notre route en empruntant la route 50 EST qui nous conduit directement sur la plage de Ocean City. Nous quittons notre véhicule pour une grande marche. Il y a un boardwalk de 3 miles de long et la plage à 10 miles.
C’est une autre très belle plage d’un beau sable fin et propre, comme Virginia Beach, à la différence qu’ici il y a beaucoup de magasin de gugusse, je dirais même il y en a en maudit, et des manèges (grand roue, montagnes russe, etc.) des restaurant de toute acabit et des hôtels pour tous les prix. Les fins de semaine, ça doit être bondé de monde.
La mer est agitée, il y a beaucoup de vent, pas question de ce baigner, mais le grand air nous fait du bien.
Après notre promenade nous prenons notre véhicule pour visiter la ville. La ville est construite sur une péninsule de 10miles de long mais seulement large par environs ¼ de miles de large, C’est vous dire il y a 5 rues qui traverse la ville du SUD au NORD, mais il y en a 145 qui la traverse d’EST en OUEST. Tout au long du boulevard principal qui traverse les 145 rues, il n’y a que motels, restaurants, magasins et ce qui semble être leur sport national, des terrains de mini-puts j’en ai compté 9 sur le boulevard. Cette ville est beaucoup un parc d’attraction qu’un centre de villégiature. C’est beau à voir, mais, une seul fois. Nous sortons de la ville pour trouver un endroit plus tranquille pour dormir.
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mardi 28 septembre 2010
28 septembre 2010
JOUR 160
Ce matin il pleut encore, que cela ne tienne, c’est notre journée de gym. Nous avons trouvé dans l’internet plusieurs gym dans les environs, nous programmons notre GPS pour le premier gym, un Planet Fitness, trop cher $20, par personne, nous essayons avec le second, pas trouver le gym, le 3e même affaire et le 4e pareil, après une heure de promenage dans Virginia Beach, c’est assez, on fout le camp. Direction, le pont tunnel de Chesapeak, pour se faire nous prenons la route 13 nord. Le pont tunnel à 17.6 miles de long, c’est le plus long pont-tunnel au monde, il a été inauguré en avril 1964 et avait été choisie comme étant une des 7 merveilles d’ingénierie des temps moderne.
Il est surprenant de se retrouver sur un pont au milieu de la mer. Tout autour de nous se n’est que de l’eau. Sur ce trajet de 17 miles, à deux reprises nous descendons dans la mer, le pont deviens un tunnel d’un mile chacun. (Nous avions passé sur ce pont-tunnel en 1977, ça nous avait impressionnés et aujourd’hui ça nous impressionne encore). Arrivé de l’autre coté du pont-tunnel nous nous retrouvons dans la péninsule de Chesapeak appelé Eastern Shore, et surprise, il ne pleut plus. Nous circulons nord sur la route 13 et décidons de nous arrêter pour diner dans la petite ville de Cap Charles situé sur le bord de la mer. La plage est attrayante et belle, fait d’un sable fin, le soleil se présente le nez, la tentation est forte de ce baigner, mais nous choisissons une douche de plage pour nous rafraichir, on aura bien la chance de se reprendre. Nous reprenons notre route et une annonce d’un magasin de fruits de mer attire notre attention. Nous y arrêtons pour acheter de la chaudrée de palourde et 2 filets de saumon. Nous terminons notre route en allant faire une promenade à pieds dans Onancock, ville de 1,600 habitants, jolie avec ces grosses et historique maison.
Et pour coucher, nous avons toucher le gros lot, à Onley, Virginie, village voisin de Onancock, il y a un Walmart et tout à coté un YMCA, les deux sont tout neufs, on sait se qu’on fait demain matin. Ha oui, la chaudrée de palourde est écoeurante, on pense sérieusement à retourner s’en procurer d’autre.
Ce matin il pleut encore, que cela ne tienne, c’est notre journée de gym. Nous avons trouvé dans l’internet plusieurs gym dans les environs, nous programmons notre GPS pour le premier gym, un Planet Fitness, trop cher $20, par personne, nous essayons avec le second, pas trouver le gym, le 3e même affaire et le 4e pareil, après une heure de promenage dans Virginia Beach, c’est assez, on fout le camp. Direction, le pont tunnel de Chesapeak, pour se faire nous prenons la route 13 nord. Le pont tunnel à 17.6 miles de long, c’est le plus long pont-tunnel au monde, il a été inauguré en avril 1964 et avait été choisie comme étant une des 7 merveilles d’ingénierie des temps moderne.
Il est surprenant de se retrouver sur un pont au milieu de la mer. Tout autour de nous se n’est que de l’eau. Sur ce trajet de 17 miles, à deux reprises nous descendons dans la mer, le pont deviens un tunnel d’un mile chacun. (Nous avions passé sur ce pont-tunnel en 1977, ça nous avait impressionnés et aujourd’hui ça nous impressionne encore). Arrivé de l’autre coté du pont-tunnel nous nous retrouvons dans la péninsule de Chesapeak appelé Eastern Shore, et surprise, il ne pleut plus. Nous circulons nord sur la route 13 et décidons de nous arrêter pour diner dans la petite ville de Cap Charles situé sur le bord de la mer. La plage est attrayante et belle, fait d’un sable fin, le soleil se présente le nez, la tentation est forte de ce baigner, mais nous choisissons une douche de plage pour nous rafraichir, on aura bien la chance de se reprendre. Nous reprenons notre route et une annonce d’un magasin de fruits de mer attire notre attention. Nous y arrêtons pour acheter de la chaudrée de palourde et 2 filets de saumon. Nous terminons notre route en allant faire une promenade à pieds dans Onancock, ville de 1,600 habitants, jolie avec ces grosses et historique maison.
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lundi 27 septembre 2010
27 septembre 2010
JOUR 159
Il a plu toute la nuit et ce matin il pleut encore, le stationnement est inondé. Nous décidons quand même de nous rendre sur le boardwalk de Virginia Beach, on est pas venu ici pour resté à l’intérieur. Ce matin il y a plus personnes sur la plage, aucun kiosque, aucun vendeur, c’est tranquille. La mer est agitée, il pleut un peu, et les nuages ne laissent présager rien de bon.
Après 30 minutes de marche, la pluie deviens plus forte, on doit retourner au véhicule, on en a pour 30 minutes de retour. Comme vous pouvez vous imaginé, nous sommes arrivé trempé. Dix minutes plus tard, c’est le déluge. C’est la pire des averses que nous ayons eu dans notre voyage. Nous n’avons pas bougé de notre stationnement et c’était mieux ainsi, nous avons diné sur place. Une heure plus tard, nous quittons notre stationnement à la recherche d’une buanderie pour faire sécher notre linge. Après direction les centres d’achats, il n’y a que ça à faire s’il pleut. Ici tout est axé sur la plage, s’il ne fait pas beau, il n’y a pas grand chose à faire. Dire que tout le temps que nous avons traversé le centre des Etats-Unis, nous avons crevé de chaleur, on ne pensait qu’au moment ou on se baignerait dans la mer, et arrivé ici, il ne fait que pleuvoir. Quand même sa nous oblige à relaxer, un bon café et de la lecture, pendant que Manon arpente les magasins. Pour coucher, retour au Walmart, mais pas le même, il y en a quatre ici. Il pleut averse toute la soirée et la nuit.
Il a plu toute la nuit et ce matin il pleut encore, le stationnement est inondé. Nous décidons quand même de nous rendre sur le boardwalk de Virginia Beach, on est pas venu ici pour resté à l’intérieur. Ce matin il y a plus personnes sur la plage, aucun kiosque, aucun vendeur, c’est tranquille. La mer est agitée, il pleut un peu, et les nuages ne laissent présager rien de bon.
Après 30 minutes de marche, la pluie deviens plus forte, on doit retourner au véhicule, on en a pour 30 minutes de retour. Comme vous pouvez vous imaginé, nous sommes arrivé trempé. Dix minutes plus tard, c’est le déluge. C’est la pire des averses que nous ayons eu dans notre voyage. Nous n’avons pas bougé de notre stationnement et c’était mieux ainsi, nous avons diné sur place. Une heure plus tard, nous quittons notre stationnement à la recherche d’une buanderie pour faire sécher notre linge. Après direction les centres d’achats, il n’y a que ça à faire s’il pleut. Ici tout est axé sur la plage, s’il ne fait pas beau, il n’y a pas grand chose à faire. Dire que tout le temps que nous avons traversé le centre des Etats-Unis, nous avons crevé de chaleur, on ne pensait qu’au moment ou on se baignerait dans la mer, et arrivé ici, il ne fait que pleuvoir. Quand même sa nous oblige à relaxer, un bon café et de la lecture, pendant que Manon arpente les magasins. Pour coucher, retour au Walmart, mais pas le même, il y en a quatre ici. Il pleut averse toute la soirée et la nuit.
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dimanche 26 septembre 2010
26 septembre 2010
JOUR 158
Encore le gym, nous allons revenir en pleine forme. Après notre entrainement, on se permet un tour de véhicule en ville. On se dirige vers le centre ville. Williamsburg est une ville historique, elle a beaucoup d’histoire relié à la guerre civil. Arrivé dans le downtown, nous ne pouvons qu’être émerveillé par ces maisons historique de style Victorien.
Ici plusieurs rues sont conservées, on peut facilement comparer le downtown au vieux Québec. Mais comparativement au vieux Québec, ce n’est pas une forteresse, ici les maisons sont espacées, il y a des parcs, les rues sont large, aucun véhicule dans les rues. On se laisse tenter par une promenade et on en a pour plusieurs heures si l’on désire tout voir, on se plait aisément à s’imaginer de retour aux temps de la guerre civil (1861 – 1865).
De plus des personnes sont habillés comme a l’époque et expliques comment les gens vivaient dans le temps. Pour sortir de la ville, en empruntant les rues nous remarquons, que les édifices publics, commerciaux et maisons nouvellement construits sont tous de style Victorien. Une très belle ville à voir. Williamsburg, Jamestown et Yorktown, font partis d’un triangle historique concernant la guerre civil, il nous faudrait plusieurs jours pour les visiter et en retracer leurs histoire. Nous quittons ces lieux en se disant que nous manquons quelque chose, mais, nous voulons nous rendre sur la cote EST à Virginia Beach aujourd’hui. Nous retrouvons la route 64 EST, avec son lot de circulation (même si nous sommes dimanche). Juste avant d’arriver à Norfolk, nous devons traverser une rivière par un tunnel sous l’eau. Juste avant d’entrer dans le tunnel, CATASTROPHE, le moteur de notre véhicule cale, nous sommes béni comme c’est pas possible, environs 100 pieds avant de descendre dans le tunnel, il y a une voie de service à droite, je réussi à m’immobiliser. Impossible de repartir, il ne semble pas prendre son gaz. Pendant 5 minutes rien à faire. Tout à coup il redémarre comme si de rien n’était. (C’est déjà arrivé à deux, trois reprises que le moteur se soit arrêté alors que nous étions immobilisés, mais jamais en roulant, et il repartait immédiatement). Une décisions s’impose, est-ce qu’on prend le tunnel et comment long est-il. J’écoute le moteur et il n’y a pas de raté, go, on entre, juste à temps nous voyons venir la remorque par la voie de service. Ce tunnel est tout à fait identique au tunnel Louis Hippolyte Lafontaine de Montréal pour sa largeur et sa longueur, je n’ose imaginer se qui serait arrivé si ça nous était arrivé à l’intérieur, surtout que la circulation est très rapide (minute, je vais prendre une gorgée de bière). On a trouvé le tunnel long, on avait hâte de VOIR LA LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL (sa mérite une autre gorgée, l’émotion). Tout ça pour dire qu’on s’est rendu sans problème jusqu'à Norfolk, et pris la route 264 EST qui nous à conduit jusqu'au bord de l’océan Atlantique à Virginia Beach. Nous venons de traverser les Etats-Unis de l’ouest à l’est, une belle aventure (une autre gorgée de bière). Nous stationnons notre véhicule et partons voir la plage à pieds. Cette fin de semaine il y a des activités qui se terminent aujourd’hui, Sur le bordwalk, il y a des exposants et vendeurs de gusgusses à perte de vue. Il y en a tellement qu’on en voit pas le bout. Nous se qui nous intéresse c’est la plage.
Elle est IMMENSE on en voit pas le bout (déjà dit) d’un coté ou de l’autre, et le sable, d’un beige presque blanc, très fin et propre. C’est certainement l’une des belles plages de sables qu’on a vue. J’avais hâte de me baigner dans l’océan, mais il vente, c’est très nuageux et risque de pluie. Peut-être demain, mais ils annoncent de la pluie jusqu'à vendredi. Sur le bordwalk, il y a foule, nous marchons en fouinant dans les kiosques et nous dirigeons vers des sculptures de sables. C’est la 3e compétition de sculpture professionnelle que nous voyons dans notre voyage.
Deux québécois se distingues dans cette compétition, l’an passé ils ont remportés le 1er prix et cette année le 2e prix. En retournant vers notre véhicule, la pluie commence, nous arrivons trempé à notre véhicule. On reviendra demain, en espérant qu’il y aura moins de gens. Direction Walmart (une autre gorgée de bière et dodo).
Encore le gym, nous allons revenir en pleine forme. Après notre entrainement, on se permet un tour de véhicule en ville. On se dirige vers le centre ville. Williamsburg est une ville historique, elle a beaucoup d’histoire relié à la guerre civil. Arrivé dans le downtown, nous ne pouvons qu’être émerveillé par ces maisons historique de style Victorien.
Ici plusieurs rues sont conservées, on peut facilement comparer le downtown au vieux Québec. Mais comparativement au vieux Québec, ce n’est pas une forteresse, ici les maisons sont espacées, il y a des parcs, les rues sont large, aucun véhicule dans les rues. On se laisse tenter par une promenade et on en a pour plusieurs heures si l’on désire tout voir, on se plait aisément à s’imaginer de retour aux temps de la guerre civil (1861 – 1865).
De plus des personnes sont habillés comme a l’époque et expliques comment les gens vivaient dans le temps. Pour sortir de la ville, en empruntant les rues nous remarquons, que les édifices publics, commerciaux et maisons nouvellement construits sont tous de style Victorien. Une très belle ville à voir. Williamsburg, Jamestown et Yorktown, font partis d’un triangle historique concernant la guerre civil, il nous faudrait plusieurs jours pour les visiter et en retracer leurs histoire. Nous quittons ces lieux en se disant que nous manquons quelque chose, mais, nous voulons nous rendre sur la cote EST à Virginia Beach aujourd’hui. Nous retrouvons la route 64 EST, avec son lot de circulation (même si nous sommes dimanche). Juste avant d’arriver à Norfolk, nous devons traverser une rivière par un tunnel sous l’eau. Juste avant d’entrer dans le tunnel, CATASTROPHE, le moteur de notre véhicule cale, nous sommes béni comme c’est pas possible, environs 100 pieds avant de descendre dans le tunnel, il y a une voie de service à droite, je réussi à m’immobiliser. Impossible de repartir, il ne semble pas prendre son gaz. Pendant 5 minutes rien à faire. Tout à coup il redémarre comme si de rien n’était. (C’est déjà arrivé à deux, trois reprises que le moteur se soit arrêté alors que nous étions immobilisés, mais jamais en roulant, et il repartait immédiatement). Une décisions s’impose, est-ce qu’on prend le tunnel et comment long est-il. J’écoute le moteur et il n’y a pas de raté, go, on entre, juste à temps nous voyons venir la remorque par la voie de service. Ce tunnel est tout à fait identique au tunnel Louis Hippolyte Lafontaine de Montréal pour sa largeur et sa longueur, je n’ose imaginer se qui serait arrivé si ça nous était arrivé à l’intérieur, surtout que la circulation est très rapide (minute, je vais prendre une gorgée de bière). On a trouvé le tunnel long, on avait hâte de VOIR LA LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL (sa mérite une autre gorgée, l’émotion). Tout ça pour dire qu’on s’est rendu sans problème jusqu'à Norfolk, et pris la route 264 EST qui nous à conduit jusqu'au bord de l’océan Atlantique à Virginia Beach. Nous venons de traverser les Etats-Unis de l’ouest à l’est, une belle aventure (une autre gorgée de bière). Nous stationnons notre véhicule et partons voir la plage à pieds. Cette fin de semaine il y a des activités qui se terminent aujourd’hui, Sur le bordwalk, il y a des exposants et vendeurs de gusgusses à perte de vue. Il y en a tellement qu’on en voit pas le bout. Nous se qui nous intéresse c’est la plage.
Elle est IMMENSE on en voit pas le bout (déjà dit) d’un coté ou de l’autre, et le sable, d’un beige presque blanc, très fin et propre. C’est certainement l’une des belles plages de sables qu’on a vue. J’avais hâte de me baigner dans l’océan, mais il vente, c’est très nuageux et risque de pluie. Peut-être demain, mais ils annoncent de la pluie jusqu'à vendredi. Sur le bordwalk, il y a foule, nous marchons en fouinant dans les kiosques et nous dirigeons vers des sculptures de sables. C’est la 3e compétition de sculpture professionnelle que nous voyons dans notre voyage.
Deux québécois se distingues dans cette compétition, l’an passé ils ont remportés le 1er prix et cette année le 2e prix. En retournant vers notre véhicule, la pluie commence, nous arrivons trempé à notre véhicule. On reviendra demain, en espérant qu’il y aura moins de gens. Direction Walmart (une autre gorgée de bière et dodo).
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samedi 25 septembre 2010
25 septembre 2010
JOUR 157
Ce matin on n’a plus le choix, on manque de bobette, c’est le temps de trouver un buanderie. Nous prenons une bonne partie de l’avant-midi. Après direction EST sur la route 64. Mon ami Greg (un des deux pêcheurs d’hier dans le parc) ma dit que nous avons bien fait de choisir un samedi pour se rendre à Virginia Beach, parce que dans la semaine il y a un trafic fou, Un chance pour nous parce que pour nous il y a un trafic fou, imaginé dans la semaine. La circulation est rapide, le paysage est le même, boisé, mais je préfère me concentrer sur la route. Nous roulons jusqu'à Williamsburg, nous voulons visiter le Parc des Présidents. Il s’agit des bustes sculptés des présidents des Etats-Unis, d’une vingtaine de pieds de haut, étalés dans un parc avec détails biographique et résumé de leurs réalisations. C’est intéressant et cultivant. Tous les présidents y sont présentés, sauf l’actuel, Obama. Après cette visite, vue l’heure tardive, nous décidons de rester à Williamsburg. Hé oui, encore au Walmart. On a beau faire des farces avec les Walmart, mais faut avouer qu’ils ne sont pas difficile à trouver, ils sont sécuritaire, il y a toujours de la place et évidemment c’est gratuit. Nous se que nous recherchons, c’est seulement une place pour stationner notre véhicule, pas besoin d’eau et d’électricité, nous sommes autonome, pourquoi alors payer $15. pour un stationnement, sur ce, bonne nuit.
Ce matin on n’a plus le choix, on manque de bobette, c’est le temps de trouver un buanderie. Nous prenons une bonne partie de l’avant-midi. Après direction EST sur la route 64. Mon ami Greg (un des deux pêcheurs d’hier dans le parc) ma dit que nous avons bien fait de choisir un samedi pour se rendre à Virginia Beach, parce que dans la semaine il y a un trafic fou, Un chance pour nous parce que pour nous il y a un trafic fou, imaginé dans la semaine. La circulation est rapide, le paysage est le même, boisé, mais je préfère me concentrer sur la route. Nous roulons jusqu'à Williamsburg, nous voulons visiter le Parc des Présidents. Il s’agit des bustes sculptés des présidents des Etats-Unis, d’une vingtaine de pieds de haut, étalés dans un parc avec détails biographique et résumé de leurs réalisations. C’est intéressant et cultivant. Tous les présidents y sont présentés, sauf l’actuel, Obama. Après cette visite, vue l’heure tardive, nous décidons de rester à Williamsburg. Hé oui, encore au Walmart. On a beau faire des farces avec les Walmart, mais faut avouer qu’ils ne sont pas difficile à trouver, ils sont sécuritaire, il y a toujours de la place et évidemment c’est gratuit. Nous se que nous recherchons, c’est seulement une place pour stationner notre véhicule, pas besoin d’eau et d’électricité, nous sommes autonome, pourquoi alors payer $15. pour un stationnement, sur ce, bonne nuit.
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vendredi 24 septembre 2010
24 septembre 2010
JOUR 156
Ce matin, encore le gym. Nou nous rendons au YMCA de Civington, il est tout neuf, avec un bel équipement également neuf, et en plus de ça, la première visite est gratuite. Après un bon entrainement, direction EST sur la route 64. Nous roulons jusqu'à Lexington. Le paysage de la Virginie nous étonnes beaucoup. Nous roulons sur une autoroute qui traverse que des régions boisés, de la forêt à perte de vue. Nous nous arrêtons pour diner à Lexington et découvrons une très belle ville. Ici, l’histoire de la ville tourne autour de la guerre civil. Les maisons ont gardées leur cachet de style victorienne.
Nous nous promenons dans les rues, dont certaines nous font penser aux rues du vieux Québec. Avoir plus de temps, il nous faudrait rester 2 jours ici pour apprendre à connaître cette ville et découvrir son Histoire, mais, nous avons hâte de voir l’océan Article, nous reprenons la route, toujours la 94 EST. Étrangement à partir d’ici, il y a beaucoup de circulation. Mais, toujours le même décor, de la forêt à perte de vue, avec le feuillage qui commence à changer de couleur, dans une semaine les paysages seront des tableaux d’artiste.
Depuis que nous sommes en Virginie, lorsque nous sommes sur l’autoroute, nous voyons que de la forêt, jamais nous ne pouvons voir des villes ou villages de l’autoroute, il nous faut sortir pour les découvrir. Nous nous surprenons à aimer cette état, c’est certainement l’état la plus plaisante à circuler, que de la forêt très dense. Notre route s’arrête aujourd’hui à Waynesboro, nous trouvons un parc municipale pour relaxer et souper. Dans ce parc il y a une petite rivière, ou deux personnes sont à pêcher. Je converse avec l’homme de couleur d’une quarantaine d’années et nous échangeons sur plusieurs sujets. Tout au long de notre voyage, lorsque nous adressions la parole a des gens, tous furent sympathique avec nous, moi qui croyait les américains, hautains et indépendants, ils sont toujours prêt a donner des conseils et curieux de savoir d’où nous venons. Je suis surpris de voir le nombre de gens, qui ne semblent pas savoir quel langue nous parlons. Nous quittons le parc à la tombé de la noirceur et rejoignons, notre camping, le Walmart.
Ce matin, encore le gym. Nou nous rendons au YMCA de Civington, il est tout neuf, avec un bel équipement également neuf, et en plus de ça, la première visite est gratuite. Après un bon entrainement, direction EST sur la route 64. Nous roulons jusqu'à Lexington. Le paysage de la Virginie nous étonnes beaucoup. Nous roulons sur une autoroute qui traverse que des régions boisés, de la forêt à perte de vue. Nous nous arrêtons pour diner à Lexington et découvrons une très belle ville. Ici, l’histoire de la ville tourne autour de la guerre civil. Les maisons ont gardées leur cachet de style victorienne.
Nous nous promenons dans les rues, dont certaines nous font penser aux rues du vieux Québec. Avoir plus de temps, il nous faudrait rester 2 jours ici pour apprendre à connaître cette ville et découvrir son Histoire, mais, nous avons hâte de voir l’océan Article, nous reprenons la route, toujours la 94 EST. Étrangement à partir d’ici, il y a beaucoup de circulation. Mais, toujours le même décor, de la forêt à perte de vue, avec le feuillage qui commence à changer de couleur, dans une semaine les paysages seront des tableaux d’artiste.
Depuis que nous sommes en Virginie, lorsque nous sommes sur l’autoroute, nous voyons que de la forêt, jamais nous ne pouvons voir des villes ou villages de l’autoroute, il nous faut sortir pour les découvrir. Nous nous surprenons à aimer cette état, c’est certainement l’état la plus plaisante à circuler, que de la forêt très dense. Notre route s’arrête aujourd’hui à Waynesboro, nous trouvons un parc municipale pour relaxer et souper. Dans ce parc il y a une petite rivière, ou deux personnes sont à pêcher. Je converse avec l’homme de couleur d’une quarantaine d’années et nous échangeons sur plusieurs sujets. Tout au long de notre voyage, lorsque nous adressions la parole a des gens, tous furent sympathique avec nous, moi qui croyait les américains, hautains et indépendants, ils sont toujours prêt a donner des conseils et curieux de savoir d’où nous venons. Je suis surpris de voir le nombre de gens, qui ne semblent pas savoir quel langue nous parlons. Nous quittons le parc à la tombé de la noirceur et rejoignons, notre camping, le Walmart.
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jeudi 23 septembre 2010
23 septembre 2010
JOUR 155
Aujourd’hui nous voulons nous avancer et rouler pour nous approcher de la cote EST. Avant de quitter Ashland nous trouvons un starbuck pour un bon café. Sur place nous rencontrons un gars qui nous aborde en parlant très bien français. C’est pourtant un jeune américain, il dit avoir appris le français en fréquentant des français lors de ces voyages. Il s’appelle Martin, on à jasé pendant 30 minutes, il dit qu’il habite Ashland et qu’il n’a jamais entendu parler en français ici, et se demandait se que des touristes comme nous, étions venu y faire. Après cet amical rencontre nous avons repris la route 60 SUD qui nous a conduit sur la route 64 EST et retraversons du Kentucky vers la West Virginia. Nous roulons jusqu'à Charleston d’où la route 64 se jumelle avec la 77.
Depuis que nous sommes entré en West Virginia, il y a de plus en plus de forêt, et de montagnes, mais ici les montagnes sont recouvertes de tellement d’arbres que le soleil ne semble pas traverser sa couche feuillu. Vers la fin de la journée, alors que nous nous trouvons dans les montagnes Appalachian, nous changeons encore une fois d’état.
Nous passons de West Verginia à Verginia, et nous nous arrêtons pour dormir à Covington, devinez ou…hé oui, au Walmart, et il n’était pas évident à trouver, croyez le ou non, il était dissimulé par les arbres. Ce soir nous nous payons de la pizza. Mais, surprise, quand nous ouvrons la boite, une pizza avec pâte en dessous et sur le dessu, ça ressemblait à une grosse pizza pochet, mais c’était bon. Ça vas bien dormir ce soir. (Il est temps de voir de belles chose, j’en suis réduit à parler de pizza)
Aujourd’hui nous voulons nous avancer et rouler pour nous approcher de la cote EST. Avant de quitter Ashland nous trouvons un starbuck pour un bon café. Sur place nous rencontrons un gars qui nous aborde en parlant très bien français. C’est pourtant un jeune américain, il dit avoir appris le français en fréquentant des français lors de ces voyages. Il s’appelle Martin, on à jasé pendant 30 minutes, il dit qu’il habite Ashland et qu’il n’a jamais entendu parler en français ici, et se demandait se que des touristes comme nous, étions venu y faire. Après cet amical rencontre nous avons repris la route 60 SUD qui nous a conduit sur la route 64 EST et retraversons du Kentucky vers la West Virginia. Nous roulons jusqu'à Charleston d’où la route 64 se jumelle avec la 77.
Depuis que nous sommes entré en West Virginia, il y a de plus en plus de forêt, et de montagnes, mais ici les montagnes sont recouvertes de tellement d’arbres que le soleil ne semble pas traverser sa couche feuillu. Vers la fin de la journée, alors que nous nous trouvons dans les montagnes Appalachian, nous changeons encore une fois d’état.
Nous passons de West Verginia à Verginia, et nous nous arrêtons pour dormir à Covington, devinez ou…hé oui, au Walmart, et il n’était pas évident à trouver, croyez le ou non, il était dissimulé par les arbres. Ce soir nous nous payons de la pizza. Mais, surprise, quand nous ouvrons la boite, une pizza avec pâte en dessous et sur le dessu, ça ressemblait à une grosse pizza pochet, mais c’était bon. Ça vas bien dormir ce soir. (Il est temps de voir de belles chose, j’en suis réduit à parler de pizza)
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La virginie
mercredi 22 septembre 2010
22 septembre 2010
JOUR 154
C’est notre avant-midi de gym. Nous trouvons un gym tout près, c’est un gros gym, je me rappelle plus du nom, mais un gym comme seul les américains en ont l’idé. Ils ont ici, en plus d’une multitude d’appareils cardios et toute la panoplie d’appareils de musculation, le cinéma cardio. Il s’agit d’une salle sombre dans laquelle, plusieurs appareils cardio, sont installés devant un écran de cinéma et dont un film est projeté. Aujourd’hui à l’affiche du Cinéma Cardio, un James Bond, Casino Royal, fallait y penser. Se qui est intéressant dans le fait de s’entrainer (a part se mettre en forme) c’est que nous voyons toute sorte de gym, des plus petits au plus grand, et rencontrons beaucoup de gens très sympathique. C’est ici que nous avons rencontré aujourd’hui, un homme qui à su nous indiquer correctement comment traverser Cincinnati sans se perdre. Nous devons avouer que sans lui, nous serions encore à tourner dans la ville. Nous avons suivi à la lettre ces indications et en 30 minutes nous avons traversé la ville. Pour ceux qui nous suive à la carte, vous me ferez grâce d’énumérer le tracé suivi, je dirais seulement que nous sommes entré dans Cincinnati par la route 74 EST, et nous sommes ressorti sur la route 32 EST. C’est une route secondaire, très boisée, le décor est beau ressemblant à nos forêts Laurentien, mais dans quelque jours avec les couleurs de l’automne se sera splendide. La route 32 nous conduit jusqu'à Ironton, nous décidons de nous arrêter ici pour la nuit. Vu la grosseur de la ville, il y a certainement un Wall-mart ici. Nous demandons à une gentille dame la direction, elle me dit de la suivre qu’elle vas justement dans cette direction. Nous la suivons, elle nous fait traverser un pont et nous nous retrouvons dans Ashland, au Kentucky, une autre ville, dans un autre état. C’est vous dire, ici ont peu change d’état, sans s’en apercevoir. EN quatre jours, nous avons traversé dans 5 états, Iowa, Illinois, Indiana, Ohio et maintenant le Kentucky. Nous nous approchons de la cote EST. Comme vous l’avez deviné, nous avons trouvé notre camping. Mais ce soir il fait très chaud, dans la journée, la température à grimpé à 96 far. Nous allons mettre l’air climatisé pour dormir.
C’est notre avant-midi de gym. Nous trouvons un gym tout près, c’est un gros gym, je me rappelle plus du nom, mais un gym comme seul les américains en ont l’idé. Ils ont ici, en plus d’une multitude d’appareils cardios et toute la panoplie d’appareils de musculation, le cinéma cardio. Il s’agit d’une salle sombre dans laquelle, plusieurs appareils cardio, sont installés devant un écran de cinéma et dont un film est projeté. Aujourd’hui à l’affiche du Cinéma Cardio, un James Bond, Casino Royal, fallait y penser. Se qui est intéressant dans le fait de s’entrainer (a part se mettre en forme) c’est que nous voyons toute sorte de gym, des plus petits au plus grand, et rencontrons beaucoup de gens très sympathique. C’est ici que nous avons rencontré aujourd’hui, un homme qui à su nous indiquer correctement comment traverser Cincinnati sans se perdre. Nous devons avouer que sans lui, nous serions encore à tourner dans la ville. Nous avons suivi à la lettre ces indications et en 30 minutes nous avons traversé la ville. Pour ceux qui nous suive à la carte, vous me ferez grâce d’énumérer le tracé suivi, je dirais seulement que nous sommes entré dans Cincinnati par la route 74 EST, et nous sommes ressorti sur la route 32 EST. C’est une route secondaire, très boisée, le décor est beau ressemblant à nos forêts Laurentien, mais dans quelque jours avec les couleurs de l’automne se sera splendide. La route 32 nous conduit jusqu'à Ironton, nous décidons de nous arrêter ici pour la nuit. Vu la grosseur de la ville, il y a certainement un Wall-mart ici. Nous demandons à une gentille dame la direction, elle me dit de la suivre qu’elle vas justement dans cette direction. Nous la suivons, elle nous fait traverser un pont et nous nous retrouvons dans Ashland, au Kentucky, une autre ville, dans un autre état. C’est vous dire, ici ont peu change d’état, sans s’en apercevoir. EN quatre jours, nous avons traversé dans 5 états, Iowa, Illinois, Indiana, Ohio et maintenant le Kentucky. Nous nous approchons de la cote EST. Comme vous l’avez deviné, nous avons trouvé notre camping. Mais ce soir il fait très chaud, dans la journée, la température à grimpé à 96 far. Nous allons mettre l’air climatisé pour dormir.
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mardi 21 septembre 2010
21 septembre 2010
JOUR 153
Il fait chaud ce matin, je dirais même, très chaud. Nous quittons notre Walmart (on pense à acheter des parts) nous reprenons la route 74 EST, nous ne sommes pas loin des limites de l’état. Vers 11:00hre. nous entrons en Indiana, toujours des grands champs et beaucoup de circulation, de plus en plus de transport lourd, faut dire que nous circulons sur des autoroutes. Nous avons décidez de nous rapprocher de la cote EST et de remonter en longeant l’Atlantique. Notre destination visé sur la cote EST Virginia Beach . Pour ce faire nous prenons les autoroutes c’est plus rapide, nous arrêtons quand même aux centres d’informations (qui sont encore ouvert) et nous informons s’il y a des choses à voir sur notre route. Malheureusement, les parcs nationaux et les routes panoramiques se font rares. Toute la journée nous roulons sur les routes de l’Indiana, pour en ressortir en fin d’après-midi en entrant en Ohio. Chose surprenant, environs 5 miles avant d’entrer en Ohio sur la route 74, nous entrons dans une zone boisée. Ici plus de champs, que des arbres, ils ont même commencé à changer de couleurs. Lorsque l’on traverse en Ohio, nous sommes vraiment dans les bois, il y a des arbres partout ils font même de l’ombrage à la route. Je crois que nous allons bien aimer l’Ohio. Nous roulons 14 miles et arrêtons en banlieu de Cincinnati dans une ville appelé Green. Nous nous faisons un b.b.q. dans un parc municipal et allons dormir dans le stationnement du….. Sam’s Club, un nouveau camping à rajouter sur notre liste (avec la bénédiction de gérant).
Il fait chaud ce matin, je dirais même, très chaud. Nous quittons notre Walmart (on pense à acheter des parts) nous reprenons la route 74 EST, nous ne sommes pas loin des limites de l’état. Vers 11:00hre. nous entrons en Indiana, toujours des grands champs et beaucoup de circulation, de plus en plus de transport lourd, faut dire que nous circulons sur des autoroutes. Nous avons décidez de nous rapprocher de la cote EST et de remonter en longeant l’Atlantique. Notre destination visé sur la cote EST Virginia Beach . Pour ce faire nous prenons les autoroutes c’est plus rapide, nous arrêtons quand même aux centres d’informations (qui sont encore ouvert) et nous informons s’il y a des choses à voir sur notre route. Malheureusement, les parcs nationaux et les routes panoramiques se font rares. Toute la journée nous roulons sur les routes de l’Indiana, pour en ressortir en fin d’après-midi en entrant en Ohio. Chose surprenant, environs 5 miles avant d’entrer en Ohio sur la route 74, nous entrons dans une zone boisée. Ici plus de champs, que des arbres, ils ont même commencé à changer de couleurs. Lorsque l’on traverse en Ohio, nous sommes vraiment dans les bois, il y a des arbres partout ils font même de l’ombrage à la route. Je crois que nous allons bien aimer l’Ohio. Nous roulons 14 miles et arrêtons en banlieu de Cincinnati dans une ville appelé Green. Nous nous faisons un b.b.q. dans un parc municipal et allons dormir dans le stationnement du….. Sam’s Club, un nouveau camping à rajouter sur notre liste (avec la bénédiction de gérant).
lundi 20 septembre 2010
20 septembre 2010
JOUR 152
On a bien dormi au Wal-mart, on s’était installé là ou l’agent de sécurité nous a dit, parcequ’ici, il y a des agents de sécurité qui patrouille les stationnements, selon l’agent c’est un coin tough. Nous étions installé sous un lampadaire. La nuit à été calme. Ce matin, nous nous dirigeons vers le gym le plus près, (c’est mon ami l’agt. de sécurité qui m’a indiqué la place) dorénavant nous allons au gym tous les deux jours, jusqu'à notre retour (on veux pas paraître trop chétif, vous savez a force de manger de la salade…) Après un bon entrainement, nous reprenons la route 74 direction EST, nous passons dans la ville de Blomington sans nous arrêter, (mon ami l’agent de sécurité, nous a fortement conseillé de ne pas s’arrêter pour coucher à Blomington, selon ces propres paroles, sont fou). Alors j’ai pas pris de chance j’ai accéléré pour nous rendre à Champaign. Nous localisons le Wal-mart pour coucher, mais avant je me rend au garage Midas pour une vérification, mais freins font un bruit et il y a une petite fuite d’huile qui semble provenir du morceau que j’ai changer le 23 avril. Chez Midas, des gens très sympathiques, le mécanicien a passé 90 minutes sur notre véhicule, qui soit dit en passant à impressionné tout le monde dans le garage (comme s’il n’avait jamais vue ça une van de hippies). Nous avons jasé voyage, à la fin vue que les freins sont corrects, et que la coulisse d’huile c’était pas grave, il ne m’ont rien chargé, des gens très, très sympathiques (on doit avoir fait bonne impression). Après direction un bon café et Walmart pour la soirée. Nous louons un bon film dans l’appareil distributeur de films, appelé, Red Box, nous avons découvert ça en voyage, pour louer un film dans la distributrice, ça coute $1. plus tax et on a droit aux nouveautés. C’est très populaire ça va bien finir par arriver par chez-nous. Et dans tout ça, comment à été la route. L’Illinois c’est plat et platte, des paysages de champs sans reliefs, rien de bien excitant. Demain on devras bien traverser en Indiana, mais on ne sais pas exactement quel route on vas prendre, on verras ça demain.
On a bien dormi au Wal-mart, on s’était installé là ou l’agent de sécurité nous a dit, parcequ’ici, il y a des agents de sécurité qui patrouille les stationnements, selon l’agent c’est un coin tough. Nous étions installé sous un lampadaire. La nuit à été calme. Ce matin, nous nous dirigeons vers le gym le plus près, (c’est mon ami l’agt. de sécurité qui m’a indiqué la place) dorénavant nous allons au gym tous les deux jours, jusqu'à notre retour (on veux pas paraître trop chétif, vous savez a force de manger de la salade…) Après un bon entrainement, nous reprenons la route 74 direction EST, nous passons dans la ville de Blomington sans nous arrêter, (mon ami l’agent de sécurité, nous a fortement conseillé de ne pas s’arrêter pour coucher à Blomington, selon ces propres paroles, sont fou). Alors j’ai pas pris de chance j’ai accéléré pour nous rendre à Champaign. Nous localisons le Wal-mart pour coucher, mais avant je me rend au garage Midas pour une vérification, mais freins font un bruit et il y a une petite fuite d’huile qui semble provenir du morceau que j’ai changer le 23 avril. Chez Midas, des gens très sympathiques, le mécanicien a passé 90 minutes sur notre véhicule, qui soit dit en passant à impressionné tout le monde dans le garage (comme s’il n’avait jamais vue ça une van de hippies). Nous avons jasé voyage, à la fin vue que les freins sont corrects, et que la coulisse d’huile c’était pas grave, il ne m’ont rien chargé, des gens très, très sympathiques (on doit avoir fait bonne impression). Après direction un bon café et Walmart pour la soirée. Nous louons un bon film dans l’appareil distributeur de films, appelé, Red Box, nous avons découvert ça en voyage, pour louer un film dans la distributrice, ça coute $1. plus tax et on a droit aux nouveautés. C’est très populaire ça va bien finir par arriver par chez-nous. Et dans tout ça, comment à été la route. L’Illinois c’est plat et platte, des paysages de champs sans reliefs, rien de bien excitant. Demain on devras bien traverser en Indiana, mais on ne sais pas exactement quel route on vas prendre, on verras ça demain.
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dimanche 19 septembre 2010
19 septembre 2010
JOUR 151
On se réveil ce matin sous une pluie torrentiel. Belle journée en perspective…. ça part mal, surtout que notre cafetière est brisé, ça part vraiment mal, on a pas notre dose de caféine et c’est pas ici qu’on vas le trouver (on a fait le tour). Les dimanches ne chercher pas un coffee shop, ils sont tous fermé (ça doit être parcequ’ils sont tous à l’église, et des églises, vous avez le choix). En manque de caféine, nous reprenons la route, il y a bien les McDo, mais non, nous sommes rendus à l’espresso, on ne jure que par les espressos, pas question de revenir au petit café faible du McDo. Comme je disais nous reprenons la route 30 EST jusqu'à Clinton, nous sommes arrivé au bord de la rivière Mississipi, il à plu tout au long du trajet, un bon café serait apprécié. Mais non pas à Clinton, il n’y a que le McDo, pas question, nous reprenons la route direction SUD sur la route 67, nous longeons le Mississipi, cette rivière qui fait partie de l’histoire américaine. C’est une rivière très large (moins que l’outaouais) mais très longue qui traverse pratiquement les Etats-Unis du nord au sud. Il est surprenant de voir que le niveau de l’eau est très élevé, très près du niveau de la route. Nous descendons jusqu'à Le Claire, c’est ici tout près que Buffalo Bill est venu au monde, (je suis bien content de ça, mais y a pas plus de café ici). Nous repartons en traversant le Mississipi, par la route 74 EST, nous voulons éviter de passer près de Chicago. Il ne pleut plus, mais le temps est maussade, et nous aussi (pas de café de toute l’avant-midi). Nous roulons jusqu'à Galesburg, et arrêtons pour diner. Ici c’est une ville de 33,000 habitants, il y à certainement un bon coffee shop. Nous en avons localisé quatre dans le bottin de la ville. Notre GPS nous conduit au premier, un Starbuck, la bâtisse est là, mais il n’y a plus de Starbuck, le second un Java Café, il est fermé, le troisième merci seigneur, il est ouvert. Nous nous installons pour boire notre café à l’intérieur, et croyez le ou non, on s’en aient pris chacun autre pour emporter. Bien réveillé avec notre dose de caféine, nous continuons notre route sur la 74 EST jusqu'à Peoria. Ici y a un Wal-mart. On va pas plus loin. Comme vous pouvez voir, une autre journée mouvementée, s’il n’y avait pas eu notre histoire de café, j’aurais pas eu grand-chose à vous raconter, qui sais se que nous réserve demain. Ha oui, j’ai oublié, on a acheté une cafetière.
On se réveil ce matin sous une pluie torrentiel. Belle journée en perspective…. ça part mal, surtout que notre cafetière est brisé, ça part vraiment mal, on a pas notre dose de caféine et c’est pas ici qu’on vas le trouver (on a fait le tour). Les dimanches ne chercher pas un coffee shop, ils sont tous fermé (ça doit être parcequ’ils sont tous à l’église, et des églises, vous avez le choix). En manque de caféine, nous reprenons la route, il y a bien les McDo, mais non, nous sommes rendus à l’espresso, on ne jure que par les espressos, pas question de revenir au petit café faible du McDo. Comme je disais nous reprenons la route 30 EST jusqu'à Clinton, nous sommes arrivé au bord de la rivière Mississipi, il à plu tout au long du trajet, un bon café serait apprécié. Mais non pas à Clinton, il n’y a que le McDo, pas question, nous reprenons la route direction SUD sur la route 67, nous longeons le Mississipi, cette rivière qui fait partie de l’histoire américaine. C’est une rivière très large (moins que l’outaouais) mais très longue qui traverse pratiquement les Etats-Unis du nord au sud. Il est surprenant de voir que le niveau de l’eau est très élevé, très près du niveau de la route. Nous descendons jusqu'à Le Claire, c’est ici tout près que Buffalo Bill est venu au monde, (je suis bien content de ça, mais y a pas plus de café ici). Nous repartons en traversant le Mississipi, par la route 74 EST, nous voulons éviter de passer près de Chicago. Il ne pleut plus, mais le temps est maussade, et nous aussi (pas de café de toute l’avant-midi). Nous roulons jusqu'à Galesburg, et arrêtons pour diner. Ici c’est une ville de 33,000 habitants, il y à certainement un bon coffee shop. Nous en avons localisé quatre dans le bottin de la ville. Notre GPS nous conduit au premier, un Starbuck, la bâtisse est là, mais il n’y a plus de Starbuck, le second un Java Café, il est fermé, le troisième merci seigneur, il est ouvert. Nous nous installons pour boire notre café à l’intérieur, et croyez le ou non, on s’en aient pris chacun autre pour emporter. Bien réveillé avec notre dose de caféine, nous continuons notre route sur la 74 EST jusqu'à Peoria. Ici y a un Wal-mart. On va pas plus loin. Comme vous pouvez voir, une autre journée mouvementée, s’il n’y avait pas eu notre histoire de café, j’aurais pas eu grand-chose à vous raconter, qui sais se que nous réserve demain. Ha oui, j’ai oublié, on a acheté une cafetière.
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samedi 18 septembre 2010
18 septembre 2010
JOUR 150
On se réveil sous la pluie, et il à plu presque toute la nuit. Pour ce remonter le morale, ce matin on se paie un petit déjeuner en ville. Après, direction le gym. Au YMCA de la place ils sont bien équipé, de vieilles appareils, mais bien entretenus. De plus le type à la réception nous laisse nous entrainer gratuitement. Après notre entrainement et la grocerie, vers 12:30 hre. nous quittons Boones par la route 30 direction EST. Il pleut et ça ne semble pas vouloir arrêter. La seule chose à faire aujourd’hui c’est de rouler, nous traversons des terres cultivables, (encore du blé d’inde). Il y a beaucoup de ferme agricole ici et vous devriez voir le nombre de commerce de machinerie agricole, il y en a dans tous les villages et des villages il y en a, vous ne faite pas 10 miles sans en traverser un. Nous roulons jusqu'à De Witt avant de nous arrêter pour la journée. Mais à De Witt, il n’y a pas de Wal-mart, pas de Fred Mayer, pas de Safeway, en se promenant dans cette petite ville, nous constatons que le centre des loisirs est ouvert. Je me rend voir le préposer et obtiens son accord, pour dormir dans le stationnement. Il à fait 52 F. et il a plu toute la journée Un autre journée palpitante qui se termine. Demain nous devrions arriver à la rivière Mississipi, et traverser en Illinois.
On se réveil sous la pluie, et il à plu presque toute la nuit. Pour ce remonter le morale, ce matin on se paie un petit déjeuner en ville. Après, direction le gym. Au YMCA de la place ils sont bien équipé, de vieilles appareils, mais bien entretenus. De plus le type à la réception nous laisse nous entrainer gratuitement. Après notre entrainement et la grocerie, vers 12:30 hre. nous quittons Boones par la route 30 direction EST. Il pleut et ça ne semble pas vouloir arrêter. La seule chose à faire aujourd’hui c’est de rouler, nous traversons des terres cultivables, (encore du blé d’inde). Il y a beaucoup de ferme agricole ici et vous devriez voir le nombre de commerce de machinerie agricole, il y en a dans tous les villages et des villages il y en a, vous ne faite pas 10 miles sans en traverser un. Nous roulons jusqu'à De Witt avant de nous arrêter pour la journée. Mais à De Witt, il n’y a pas de Wal-mart, pas de Fred Mayer, pas de Safeway, en se promenant dans cette petite ville, nous constatons que le centre des loisirs est ouvert. Je me rend voir le préposer et obtiens son accord, pour dormir dans le stationnement. Il à fait 52 F. et il a plu toute la journée Un autre journée palpitante qui se termine. Demain nous devrions arriver à la rivière Mississipi, et traverser en Illinois.
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vendredi 17 septembre 2010
17 septembre 2010
JOUR 149
Rien de spécial pour aujourd’hui, si ce n’est de rouler vers l’est. Malgré que nous sommes tout près de l’autoroute, nous décidons de prendre des routes secondaires. Nous reprenons la 175 EST, jusqu'à la route 37 EST et arrivons sur la route 30 EST. Nous roulons sur cette route jusqu'à Boone, ou nous nous arrêtons pour diner. Nous avons traversé des terres agricoles, les paysages étaient biens, la route était reposante, il y avait beaucoup moins de circulation que l’autoroute. Après diner, nous décidons de rester à Boone et de se reposer (les voyages ça fatigue). Nous soupons sur place et dodo au Wal-mart. Journée très palpitante.
Rien de spécial pour aujourd’hui, si ce n’est de rouler vers l’est. Malgré que nous sommes tout près de l’autoroute, nous décidons de prendre des routes secondaires. Nous reprenons la 175 EST, jusqu'à la route 37 EST et arrivons sur la route 30 EST. Nous roulons sur cette route jusqu'à Boone, ou nous nous arrêtons pour diner. Nous avons traversé des terres agricoles, les paysages étaient biens, la route était reposante, il y avait beaucoup moins de circulation que l’autoroute. Après diner, nous décidons de rester à Boone et de se reposer (les voyages ça fatigue). Nous soupons sur place et dodo au Wal-mart. Journée très palpitante.
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jeudi 16 septembre 2010
16 septembre 2010
JOUR 148
Ce matin on s’est réveillé à 09:15 hre. première fois dans notre voyage qu’on se réveille aussi tard, ça doit être le changement d’heure. Aujourd’hui c’est le jour du gym. Nous en trouvons un pas tellement loin le, Planet Fitness, un très beau gym, bien aéré avec plafond très haute, 88 appareils cardio, appareils de musculation en double et triple, pour tous les groupes de muscles et…(je sais pas pourquoi je vous raconte tout ça il n’y a que nous que ça intéresse) disons qu’on s’est bien entrainés. Après l’entrainement nous sortons de la ville par la l’autoroute 29 SUD. Nous voulons passer par une route panoramique que nous avons vue sur notre carte routière, cette route nous fait passer dans des hills.
Nous sortons à la sortie 135, nous prenons la route D51, jusqu'à la route D25, qui nous conduit à la route L12, jusqu’à E16, qui tombe sur la L20 (on se croirait au bingo) et on arrive à Onawa petite ville de moins de 5,000 habitants. Comment à été notre balade, et bien nous dirons que ce fut une belle promenade (du dimanche) le paysage était bien (une chance qu’il y avait du soleil), nous avons traversé des petites collines ou il y a plusieurs fermes et des champs de blé d’inde à profusion.
C’est à voir… lorsqu’on a pas à faire de détour. Nous avons couché dans le stationnement d’un magasin Pamida.
Ce matin on s’est réveillé à 09:15 hre. première fois dans notre voyage qu’on se réveille aussi tard, ça doit être le changement d’heure. Aujourd’hui c’est le jour du gym. Nous en trouvons un pas tellement loin le, Planet Fitness, un très beau gym, bien aéré avec plafond très haute, 88 appareils cardio, appareils de musculation en double et triple, pour tous les groupes de muscles et…(je sais pas pourquoi je vous raconte tout ça il n’y a que nous que ça intéresse) disons qu’on s’est bien entrainés. Après l’entrainement nous sortons de la ville par la l’autoroute 29 SUD. Nous voulons passer par une route panoramique que nous avons vue sur notre carte routière, cette route nous fait passer dans des hills.
Nous sortons à la sortie 135, nous prenons la route D51, jusqu'à la route D25, qui nous conduit à la route L12, jusqu’à E16, qui tombe sur la L20 (on se croirait au bingo) et on arrive à Onawa petite ville de moins de 5,000 habitants. Comment à été notre balade, et bien nous dirons que ce fut une belle promenade (du dimanche) le paysage était bien (une chance qu’il y avait du soleil), nous avons traversé des petites collines ou il y a plusieurs fermes et des champs de blé d’inde à profusion.
C’est à voir… lorsqu’on a pas à faire de détour. Nous avons couché dans le stationnement d’un magasin Pamida.
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mercredi 15 septembre 2010
15 septembre 2010
JOUR 147
Au réveil le temps est maussade, nuages et risque de pluie. La journée s’annonce longue et ennuyeuse. Nous allons traverser le Dakota du Sud en prenant l’autoroute 90 EST, comme un employé d’un centre d’information nous avait dit, après les Badlands, il n’y a plus grand-chose à voir si on se dirige vers l’est, sauf… à Mitchell, faut voir le Corn Palace. Nous avons circulé toute l’avant-midi, et il à raison, à l’exception des champs de blé d’inde et les panneaux publicitaires, il n’y a pas grand-chose.
Nous arrêtons pour diner à Mitchell et aller voir ce fameux Palais du blé d’inde. C’est l’attraction de la place, un bâtisse recouverte de murales fait d’épis de mais, on doit avouer que le résultat est surprenant.
Nous quittons Mitchell et reprenons la route 90 EST direction Sioux Falls. En arrivant à Sioux Falls il commence à pleuvoir, il n’est pas question d’aller visiter les chutes de la ville sous la pluie. Nous nous retrouvons dans un centre d’achat et c’est ici que nous nous rendons compte, que nous avons une heure de retard sur les gens de la place, nous devons avancer nos montres. Pour souper, on a décidé de se payer une gâterie, nous allons au restaurant. Après s’être bourré la panse au Red Lobster nous retournons à notre camping préféré, le WAL-MART. Comme vous pouvez voir nous avons eu une journée mouvementée.
Au réveil le temps est maussade, nuages et risque de pluie. La journée s’annonce longue et ennuyeuse. Nous allons traverser le Dakota du Sud en prenant l’autoroute 90 EST, comme un employé d’un centre d’information nous avait dit, après les Badlands, il n’y a plus grand-chose à voir si on se dirige vers l’est, sauf… à Mitchell, faut voir le Corn Palace. Nous avons circulé toute l’avant-midi, et il à raison, à l’exception des champs de blé d’inde et les panneaux publicitaires, il n’y a pas grand-chose.
Nous arrêtons pour diner à Mitchell et aller voir ce fameux Palais du blé d’inde. C’est l’attraction de la place, un bâtisse recouverte de murales fait d’épis de mais, on doit avouer que le résultat est surprenant.
Nous quittons Mitchell et reprenons la route 90 EST direction Sioux Falls. En arrivant à Sioux Falls il commence à pleuvoir, il n’est pas question d’aller visiter les chutes de la ville sous la pluie. Nous nous retrouvons dans un centre d’achat et c’est ici que nous nous rendons compte, que nous avons une heure de retard sur les gens de la place, nous devons avancer nos montres. Pour souper, on a décidé de se payer une gâterie, nous allons au restaurant. Après s’être bourré la panse au Red Lobster nous retournons à notre camping préféré, le WAL-MART. Comme vous pouvez voir nous avons eu une journée mouvementée.
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Le Dakota du sud
mardi 14 septembre 2010
14 septembre 2010
JOUR 146
Aujourd’hui c’est le gym, dans une ville de 67,000 habitants, il y a certainement un gym. Nous en avons trouvé un grand et bien équipé. Après notre entrainement, direction les Badlands, nous voulons nous rendre jusqu'à Wall pour diner. Nous sortons de la ville en prenant la route 90 EST, nous avons près de 50 miles à faire. La route 90 nous fait traverser d’immenses champs, qui parfois sont d’un blond or.
Il y a très peu d’habitations, mais nous voyons souvent des animaux en pâturage. Au long de notre trajet nous sommes constamment sollicité par de grand panneaux publicitaire nous incitant à voir Wall Drug. Wall drug café, Wall drug jewel, Wall drug boots, et j’en passe, tellement, que nous sommes curieux de voir ce centre Wall Drug. En arrivant, à Wall, petit village de 730 habitants, ne vous en faite pas il y avait des indications pour nous rendre à Wall Drug. Il s’agit en fait de plusieurs commerces, reliés entre eux, extérieurement et intérieurement, tous situés sur la rue principal. Ils ont tous un cachet western, on se croirait revenu en arrière, et dans tous les commerces, les murs sont tapissés de photos historique du far-west. C’est depuis 1988 que ce Wall Drug existe et je peu vous dire qu’il attire les touristes. J’ai bien aimé les photos affichées, il m’aurait fallu l’après-midi pour toutes les regarder. Mais, c’est ici que nous quittons la route 90 pour emprunter la route 240 EST. Nous roulons 2 miles et nous entrons dans le parc national des Badlands (petit tips en passant, si vous prévoyez voyager aux USA et visiter plusieurs parc nationaux, prenez la passe annuel $80, pour le couple. Les tarifs d’entré des parcs varie entre $15. et $25. par auto, nous avons largement remboursé notre passe).
Les Badlands on une superficies de 244,000 hectars de terre. Il ne m’est pas facile de décrire les Badlands, je dirais que se sont parfois des canyons, parfois des collines, parfois des montagnes, mais tous faient de terre durci. Au début de notre trajet de 32 miles, nous nous trouvons sur une immense plaine et nous roulons plusieurs miles au bord ce cette immense canyon (pas aussi profond que le grand canyon) mais certainement aussi grand, nous n’en voyons pas l’extrémité.
Un peu plus loin, notre route se met à sillonner entre ces immenses butes de terre, le paysage est époustouflant l’on croirait des décors de films de science fiction. La couleur de la terre est soit grise, soit beige, mais on peut voir sur certaine butes, des démarcations de couleurs variées.
Encore quelque miles et notre route nous fait remonter dans la plaine, nous longeons le canyon, tout en nous dirigeant vers les montagnes que l’on voit au loin devant nous. A les voir de loin on pourrait facilement les comparer aux montagnes rocheuses, mais lorsque nous les traversons, il est évidant qu’elles sont plus petites, mais tout aussi admirable à contempler.
Notre route nous fait traverser et descendre ces montagnes en zigzaguent jusqu'à ces pieds.
Toute la journée le soleil à été absent et se n’est que maintenant qu’il daigne se pointer le nez. Lorsque ces rayons éclairs les montagnes, le décor est complètement différent, les montagnes perdent de leurs gris et brun foncé, pour devenir jaune, presque or, la transformation est magique, une magie que seul la nature peut réussir sur une si grande échelle.
Après plus de 2 heure d’admiration, notre trajet nous ramène sur la route 90 EST, longue et sans vie. Ce petit détour de 32 miles est certainement un des beaux moments de notre voyage que nous n’oublierons pas, ces images sont incrustées dans notre mémoire. Maintenant il nous faut trouver une place pour souper et dormir, nous roulons jusqu'à Kadoka, un petit village ou y a pas grand-chose, on tente notre chance sur le prochain village, Belvidere. Pas chanceux c’est un petit village ou il n’y a qu’un quartier de maison, au plus 10 maisons, et qui ressemble beaucoup plus à un village fantôme, aucun commerce ici, seul 2 chiens se promènent dans les rues, rien d’attirant. Nous ressortons du village et juste avant de reprendre la route 90, nous voyons 2 gros motorisés arrêtés dans la cour d’un garage abandonné, ou il y a beaucoup d’espace. Nous nous installons nous aussi, on a trouvé notre place pour la nuit.
Aujourd’hui c’est le gym, dans une ville de 67,000 habitants, il y a certainement un gym. Nous en avons trouvé un grand et bien équipé. Après notre entrainement, direction les Badlands, nous voulons nous rendre jusqu'à Wall pour diner. Nous sortons de la ville en prenant la route 90 EST, nous avons près de 50 miles à faire. La route 90 nous fait traverser d’immenses champs, qui parfois sont d’un blond or.
Il y a très peu d’habitations, mais nous voyons souvent des animaux en pâturage. Au long de notre trajet nous sommes constamment sollicité par de grand panneaux publicitaire nous incitant à voir Wall Drug. Wall drug café, Wall drug jewel, Wall drug boots, et j’en passe, tellement, que nous sommes curieux de voir ce centre Wall Drug. En arrivant, à Wall, petit village de 730 habitants, ne vous en faite pas il y avait des indications pour nous rendre à Wall Drug. Il s’agit en fait de plusieurs commerces, reliés entre eux, extérieurement et intérieurement, tous situés sur la rue principal. Ils ont tous un cachet western, on se croirait revenu en arrière, et dans tous les commerces, les murs sont tapissés de photos historique du far-west. C’est depuis 1988 que ce Wall Drug existe et je peu vous dire qu’il attire les touristes. J’ai bien aimé les photos affichées, il m’aurait fallu l’après-midi pour toutes les regarder. Mais, c’est ici que nous quittons la route 90 pour emprunter la route 240 EST. Nous roulons 2 miles et nous entrons dans le parc national des Badlands (petit tips en passant, si vous prévoyez voyager aux USA et visiter plusieurs parc nationaux, prenez la passe annuel $80, pour le couple. Les tarifs d’entré des parcs varie entre $15. et $25. par auto, nous avons largement remboursé notre passe).
Les Badlands on une superficies de 244,000 hectars de terre. Il ne m’est pas facile de décrire les Badlands, je dirais que se sont parfois des canyons, parfois des collines, parfois des montagnes, mais tous faient de terre durci. Au début de notre trajet de 32 miles, nous nous trouvons sur une immense plaine et nous roulons plusieurs miles au bord ce cette immense canyon (pas aussi profond que le grand canyon) mais certainement aussi grand, nous n’en voyons pas l’extrémité.
Un peu plus loin, notre route se met à sillonner entre ces immenses butes de terre, le paysage est époustouflant l’on croirait des décors de films de science fiction. La couleur de la terre est soit grise, soit beige, mais on peut voir sur certaine butes, des démarcations de couleurs variées.
Encore quelque miles et notre route nous fait remonter dans la plaine, nous longeons le canyon, tout en nous dirigeant vers les montagnes que l’on voit au loin devant nous. A les voir de loin on pourrait facilement les comparer aux montagnes rocheuses, mais lorsque nous les traversons, il est évidant qu’elles sont plus petites, mais tout aussi admirable à contempler.
Notre route nous fait traverser et descendre ces montagnes en zigzaguent jusqu'à ces pieds.
Toute la journée le soleil à été absent et se n’est que maintenant qu’il daigne se pointer le nez. Lorsque ces rayons éclairs les montagnes, le décor est complètement différent, les montagnes perdent de leurs gris et brun foncé, pour devenir jaune, presque or, la transformation est magique, une magie que seul la nature peut réussir sur une si grande échelle.
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Le Dakota du sud
lundi 13 septembre 2010
13 septembre 2010
JOUR 145
Cette nuit on s’est encore fait arroser par les gicleurs du parc, (on n’apprendra pas) mais, cette fois les fenêtres étaient fermées. Pendant au moins 30 minutes nous avions ce satané jet, qui revenait constamment nous arroser. Ce qui fait que ce matin, on est un peu poqué. Malgré tout c’est notre journée de gym, on s’informe au visitor center et la dame qui est là m’indique le seul gym qu’il y a en ville. Nous nous rendons sur place, une ancienne école et, surprise, nous sommes dans un centre de personnes âgées. N’étant pas certain de la bonne place, je me rend à l’administration un peu gêné et explique à la dame, que nous recherchons un fitness center, et que le centre d’information nous à envoyé ici. La dame tout fier de dire que j’étais bien au bon endroit et que c’était ouvert au public, en plus c’est gratuit. Elle me demande si je veux voir le gym (et comment donc, un gym dans un centre de personnes âgées, j’veux voir ça) pour si rendre nous devons passer par une pièce dans laquelle se trouve des tables avec des maquettes de trains électriques, et la pièce suivante, c’est le gym. La dame est fier de me montrer les 5 appareils de musculation qu’ils ont (qui eux aussi ne sont pas très jeunes), il y avait bien un tapis roulant et des bicyclettes stationnaires (pas les derniers modèles), mais évidemment, pas d’haltères. Sur place il y avait 3 jeunes pensionnaires qui s’entrainaient ( + ou – 80 ans) et qui me regardaient d’un air suspect. Je remercia la dame et dit que j’en parlais avec mon épouse. Je suis retourné à la van et…j’avoue que l’idée d’un gym pour les personnes agées, c’est pas fou, mais je ne suis pas encore rendu là. Je me suis sauvé, et Manon qui rie de moi. Passons à autre chose. Nous reprenons la route 16 EST, direction Custer, Dakota Sud, nous voulons aller visiter le mont Rushmore réputé pour ces figures de présidents sculptés dans la montagne. Après 10 miles nous traversons la frontière du Dakota Sud et entrons dans la forêt national de Black Hill. Le paysage est fait de champs blond, d’arbres, collines et montagnes verdâtres. Une vingtaine de miles plus loin, nous arrivons à Custer. C’est une très belle petite ville d‘environs 2,000 habitants, qui n’a rien à envier à la ville de Cody. Autant Cody est identifié à Buffalo Bill, ici Custer est identifié au lieutenant colonel Georges Armstrong Custer qui fut tué a la bataille de Little Bighorne en 1876. Lui et toute la 7e de cavalerie qu’il commandait, furent décimés par les Cheyennes et leur chef Crazy Horse. Cette ville à gardé elle aussi son cachet western, c’est une belle ville à voir. Après avoir diné dans un parc de la ville, nous prenons la route 385 NORD qui nous conduit à la route 87 EST, nous voulons nous rendre au mont Rushmore, mais en passant par les routes panoramiques.
Nous sommes dans la forêt national de Black Hill, le paysage est beau, notre route sillonne de gauche à droite, de bas en haut dans cette forêt touffue. Notre route traverse 2 tunnels creusés dans la montagne. Gros véhicules s’abstenir, les tunnels ne sont pas très haut et large.
En sortant de la forêt national, nous arrivons à l’entré du Custer state parc. C’est vraiment ici que la route panoramique commence, nous grimpons sur une route pas plus large qu’il faut, et les courbes… nous pensions avoir tout vue, (juste en me sortant le bras, j’ai eu la chance de laver ma vitre arrière tellement les courbes sont prononcées) c’est incroyable. Nous avons vue des rochers appelés cathédrale,
ce sont des colonnes de roches de plusieurs pieds de haut, nous avons traversé un autre tunnel très impressionnant, un seul véhicule à la fois et entré vos miroir au cas ou.
Après quelques autre courbe (a faire rougir une couleuvre) nous arrivons à l’intersection de la route 16A, nous décidons de réduire notre trajet et de prendre cette route qui remonte vers la NORD. Sinon nous aurions pris le Wildlife loop road, qui nous fait voir le sud du parc et ces troupeaux de bisons (disons que des bisons, on en à assez vue). Alors nous reprenons dis je, la route 16A,
et ça continue, à tourner, et ça continue à monter, et nous traversons trois autres tunnels.
Après c’est la traversé du Pigtail Bridge, vous savez comment c’est fait une queue de cochon, et bien le pont est fait comme ça, on tourne tellement, qu’on reviens passer sous le pont que l’on viens de passer. Enfin, on voie de Mont Rushmore au loin. Après encore quelques miles, nous arrivons au mémorial du mont.
Nous sommes surpris par ce monuments, c’est vraiment grandiose de voir ces quatre figures de présidents sculptées dans la montagne, et également tout l’aménagement fait autour de ces lieux, il y avait foule. J’ai toujours pensé que ces lieux n’étaient qu’un attrape touriste, mais je dois m’incliner devant le travail magistral des gens qui ont sculpté cette montagne.
Après un bon cornet, nous quittons ces présidents (Georges Washington, Thomas Jefferson, Theodore Roosevelt et Abraham Lincoln) direction Keystone, petit village à la Mont Tremblant, c’est ici et le long de la route 16, que se trouve l’attrape touriste.
Il y a de tout, des musés de toute sorte, le Flinstone parc, le Holy terror mini golf, les glissades d’eau, le Cosmos Mystery Area, le Reptile Garden, le Wildlife Zoo, le Chuckwagon Supper show et même la ferme de Old MacDonald’s, et j’en passe, sans oublier les restaurants, hotels et magasins de gugus. Mais, quand même, comme on dit…ça valais le détour. Nous avons fini notre journée en retrouvant d’autre cheap comme nous, qui ne veulent pas payer de camping, dans le stationnement du Wal-mart.
Cette nuit on s’est encore fait arroser par les gicleurs du parc, (on n’apprendra pas) mais, cette fois les fenêtres étaient fermées. Pendant au moins 30 minutes nous avions ce satané jet, qui revenait constamment nous arroser. Ce qui fait que ce matin, on est un peu poqué. Malgré tout c’est notre journée de gym, on s’informe au visitor center et la dame qui est là m’indique le seul gym qu’il y a en ville. Nous nous rendons sur place, une ancienne école et, surprise, nous sommes dans un centre de personnes âgées. N’étant pas certain de la bonne place, je me rend à l’administration un peu gêné et explique à la dame, que nous recherchons un fitness center, et que le centre d’information nous à envoyé ici. La dame tout fier de dire que j’étais bien au bon endroit et que c’était ouvert au public, en plus c’est gratuit. Elle me demande si je veux voir le gym (et comment donc, un gym dans un centre de personnes âgées, j’veux voir ça) pour si rendre nous devons passer par une pièce dans laquelle se trouve des tables avec des maquettes de trains électriques, et la pièce suivante, c’est le gym. La dame est fier de me montrer les 5 appareils de musculation qu’ils ont (qui eux aussi ne sont pas très jeunes), il y avait bien un tapis roulant et des bicyclettes stationnaires (pas les derniers modèles), mais évidemment, pas d’haltères. Sur place il y avait 3 jeunes pensionnaires qui s’entrainaient ( + ou – 80 ans) et qui me regardaient d’un air suspect. Je remercia la dame et dit que j’en parlais avec mon épouse. Je suis retourné à la van et…j’avoue que l’idée d’un gym pour les personnes agées, c’est pas fou, mais je ne suis pas encore rendu là. Je me suis sauvé, et Manon qui rie de moi. Passons à autre chose. Nous reprenons la route 16 EST, direction Custer, Dakota Sud, nous voulons aller visiter le mont Rushmore réputé pour ces figures de présidents sculptés dans la montagne. Après 10 miles nous traversons la frontière du Dakota Sud et entrons dans la forêt national de Black Hill. Le paysage est fait de champs blond, d’arbres, collines et montagnes verdâtres. Une vingtaine de miles plus loin, nous arrivons à Custer. C’est une très belle petite ville d‘environs 2,000 habitants, qui n’a rien à envier à la ville de Cody. Autant Cody est identifié à Buffalo Bill, ici Custer est identifié au lieutenant colonel Georges Armstrong Custer qui fut tué a la bataille de Little Bighorne en 1876. Lui et toute la 7e de cavalerie qu’il commandait, furent décimés par les Cheyennes et leur chef Crazy Horse. Cette ville à gardé elle aussi son cachet western, c’est une belle ville à voir. Après avoir diné dans un parc de la ville, nous prenons la route 385 NORD qui nous conduit à la route 87 EST, nous voulons nous rendre au mont Rushmore, mais en passant par les routes panoramiques.
Nous sommes dans la forêt national de Black Hill, le paysage est beau, notre route sillonne de gauche à droite, de bas en haut dans cette forêt touffue. Notre route traverse 2 tunnels creusés dans la montagne. Gros véhicules s’abstenir, les tunnels ne sont pas très haut et large.
En sortant de la forêt national, nous arrivons à l’entré du Custer state parc. C’est vraiment ici que la route panoramique commence, nous grimpons sur une route pas plus large qu’il faut, et les courbes… nous pensions avoir tout vue, (juste en me sortant le bras, j’ai eu la chance de laver ma vitre arrière tellement les courbes sont prononcées) c’est incroyable. Nous avons vue des rochers appelés cathédrale,
ce sont des colonnes de roches de plusieurs pieds de haut, nous avons traversé un autre tunnel très impressionnant, un seul véhicule à la fois et entré vos miroir au cas ou.
Après quelques autre courbe (a faire rougir une couleuvre) nous arrivons à l’intersection de la route 16A, nous décidons de réduire notre trajet et de prendre cette route qui remonte vers la NORD. Sinon nous aurions pris le Wildlife loop road, qui nous fait voir le sud du parc et ces troupeaux de bisons (disons que des bisons, on en à assez vue). Alors nous reprenons dis je, la route 16A,
et ça continue, à tourner, et ça continue à monter, et nous traversons trois autres tunnels.
Après c’est la traversé du Pigtail Bridge, vous savez comment c’est fait une queue de cochon, et bien le pont est fait comme ça, on tourne tellement, qu’on reviens passer sous le pont que l’on viens de passer. Enfin, on voie de Mont Rushmore au loin. Après encore quelques miles, nous arrivons au mémorial du mont.
Nous sommes surpris par ce monuments, c’est vraiment grandiose de voir ces quatre figures de présidents sculptées dans la montagne, et également tout l’aménagement fait autour de ces lieux, il y avait foule. J’ai toujours pensé que ces lieux n’étaient qu’un attrape touriste, mais je dois m’incliner devant le travail magistral des gens qui ont sculpté cette montagne.
Après un bon cornet, nous quittons ces présidents (Georges Washington, Thomas Jefferson, Theodore Roosevelt et Abraham Lincoln) direction Keystone, petit village à la Mont Tremblant, c’est ici et le long de la route 16, que se trouve l’attrape touriste.
Il y a de tout, des musés de toute sorte, le Flinstone parc, le Holy terror mini golf, les glissades d’eau, le Cosmos Mystery Area, le Reptile Garden, le Wildlife Zoo, le Chuckwagon Supper show et même la ferme de Old MacDonald’s, et j’en passe, sans oublier les restaurants, hotels et magasins de gugus. Mais, quand même, comme on dit…ça valais le détour. Nous avons fini notre journée en retrouvant d’autre cheap comme nous, qui ne veulent pas payer de camping, dans le stationnement du Wal-mart.
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Le Dakota du sud
dimanche 12 septembre 2010
12 septembre 2010
JOUR 144
Nous quittons notre camping en reprenant la route 14 EST, nous sommes toujours sur les hauteurs des montagnes Big Horne. Je vous avais dit qu’ici ils mettaient en pâturages leurs bétails, mais nous constatons ce matin qu’il n’y a pas que le bétail à corne, mais également les moutons. Après une vingtaine de kilomètres, nous commençons à descendre, le décor qui s’offre à nous est merveilleux.
Nous sortons de notre véhicule pour avoir un meilleur aperçu de la grandeur du Wyoming, nous prenons conscience de l’immensité de ce territoire.
Nous descendons en serpentant la montagne pour nous retrouver sur les basses terres, un regard derrière, nous dévoile les majestueuses montagnes que nous venons de traverser. La route 14 nous conduit jusqu'à l’autoroute 90 que nous prenons direction EST. Cette autoroute nous fait traverser d’immense champs semi désertique, les terres sembles moins arides, mais il n’y a personne qui habite ici, entre les villes et villages, c’est la solitude.
Mais, il y a les antilopes, ça il y en a, nous voyons même des troupeaux d’une vingtaine de tête. Ils sont bien beaux, mais c’est à ce demander si ce n’est pas rendu un fléau (ça doit être bon à manger ces petites bêtes là, désolé… un moment d’égarement). Les champs sont d’un beau blond, mais après 100 kilomètres de beau blond, nous aimerions bien voir d’autre couleur. Nous arrivons enfin à Gilette (non c’est pas ici qui font les rasoirs), nous en profitons pour faire un peu de lavage, nous dinons, un café, et on reprend la route. Encore, les champs de beaux blond et des antilopes. A Moorcroft (800 habitants) nous bifurquons sur la route 16 EST ( en passant y a rien à Moorcroft), ici nous voyons un peu de champs vert, nous touchons une petite partie de Thunder Basin National Grassland, et nous arrivons à Newcastle. C’est ici qu’on arrête pour aujourd’hui, il nous reste qu’a nous trouver une place pour souper et dormir, et nous l’avons trouvé dans la rue sur le coté du parc municipal.
Nous quittons notre camping en reprenant la route 14 EST, nous sommes toujours sur les hauteurs des montagnes Big Horne. Je vous avais dit qu’ici ils mettaient en pâturages leurs bétails, mais nous constatons ce matin qu’il n’y a pas que le bétail à corne, mais également les moutons. Après une vingtaine de kilomètres, nous commençons à descendre, le décor qui s’offre à nous est merveilleux.
Nous sortons de notre véhicule pour avoir un meilleur aperçu de la grandeur du Wyoming, nous prenons conscience de l’immensité de ce territoire.
Nous descendons en serpentant la montagne pour nous retrouver sur les basses terres, un regard derrière, nous dévoile les majestueuses montagnes que nous venons de traverser. La route 14 nous conduit jusqu'à l’autoroute 90 que nous prenons direction EST. Cette autoroute nous fait traverser d’immense champs semi désertique, les terres sembles moins arides, mais il n’y a personne qui habite ici, entre les villes et villages, c’est la solitude.
Mais, il y a les antilopes, ça il y en a, nous voyons même des troupeaux d’une vingtaine de tête. Ils sont bien beaux, mais c’est à ce demander si ce n’est pas rendu un fléau (ça doit être bon à manger ces petites bêtes là, désolé… un moment d’égarement). Les champs sont d’un beau blond, mais après 100 kilomètres de beau blond, nous aimerions bien voir d’autre couleur. Nous arrivons enfin à Gilette (non c’est pas ici qui font les rasoirs), nous en profitons pour faire un peu de lavage, nous dinons, un café, et on reprend la route. Encore, les champs de beaux blond et des antilopes. A Moorcroft (800 habitants) nous bifurquons sur la route 16 EST ( en passant y a rien à Moorcroft), ici nous voyons un peu de champs vert, nous touchons une petite partie de Thunder Basin National Grassland, et nous arrivons à Newcastle. C’est ici qu’on arrête pour aujourd’hui, il nous reste qu’a nous trouver une place pour souper et dormir, et nous l’avons trouvé dans la rue sur le coté du parc municipal.
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Wyoming
samedi 11 septembre 2010
11 septembre 2010
JOUR 143
Non il n’y a pas eu d’ours qui soit venu dans la nuit (et encore moins de saumon). Ce matin direction Cody, nous cherchons un gym pour nous entrainer. Nous prenons la route 20-14-16 (3 route dans une) direction EST. En sortant de notre camping nous faisons face à des montagnes escarpées, nous sommes dans la forêt national Shoshone, dans le monde des cowboys, nous en voyons qui sont à seller leur montures le long des routes.
Nous roulons jusque dans la vallée de Wapiti et entrons dans le Buffalo Bill State park.
Ici commence le monde du légendaire Buffalo Bill, tout est axé sur ce personnage. Le parc nous fait longer un merveilleux lac et traverser des montagnes par des tunnels, et nous conduit à Cody.
Oui Cody c’est Buffalo Bill, (de son vrai nom Bill Cody), tout est Buffalo Bill ici (même les hamburgers), il y a également son musé. Je crois bien avoir trouvé LA ville western par excellence. C’est une ville de 8,800 habitants, qui ne jure que par Buffalo Bill. Il y a présentement un rodéo en ville, se qui fait que des cowboys y en as beaucoup. Mais nous se qu’on cherche, c’est un gym, il y en a un, au centre récréatif, mais tout un centre récréatif, complet, qui na rien à envier aux grandes villes. Après un bon entrainement et un bon diner, nous décidons de reprendre la route, toujours la 20-14-16 direction EST.
Les premiers miles en sortant de la ville nous font traverser des terres partiellement agricole, mais rapidement le désert reprend le dessu, pour ne faire place qu’a de grandes surfaces secs et arides, nous traversons le bassin Big Horn, c’est un décor qui nous aient familier, a l’horizon nous voyons la chaine de montagne Big Horn vers lesquels nous nous dirigeons.
Après une trentaine de miles dans ce désert, nous arrivons à Emblem , 10 habitants (non, c’est pas un erreur de frappe), c’est ici que le décor change. La route deviens un peu plus sinueuse, il y a des crevasses avec un mélange de collines et montagnes escarpés, nous nous approchons de plus en plus de ces immenses montagnes qui nous semblaient si loin.
Arrivé à Greybull (1,200 habitants) nous traversons une autre petite ville typiquement américaine, rue principal large avec drapeau étoilés de chaque coté, commerces avec façade de style western, annonces publicitaire à néon et surtout leur fast food de burger. Il nous semble que toutes les rues principales des petites villes ont le même look, un peu vieillot, mais…ça à un petit cachet. Bon revenons à notre route, passé Greybull, nous prenons la route 14 EST et, nous commençons notre monté dans les Big Horn, et ça monte longtemps, ce n’est pas des pentes prononcées, mais y montent longtemps, en zigzaguent, après 30 minutes nous montons encore.
Et que dire du paysage, il est de toute beauté, montagnes abruptes, falaises, gorges et chutes, ce n’est vraiment pas la route à prendre si vous êtes pressé. Après, nous savons plus combien de temps, nous arrivons enfin sur le dessus des montagnes, nous sommes entrés dans la forêt national de… (je vous donne en mil comment elle s’appelle) BIG HORN.
Enfin nous ne montons plus, nous circulons sur plusieurs miles sans redescendre.
Et devinez quoi, depuis le début de notre voyage je crois que c’est ici que nous avons vue le plus de bétail. Les vaches et bœufs sont conduit ici pour passer l’été à brouter sur les hauteurs. C’est pour ça qu’il y a beaucoup de chevaux et de camps de cowboys dans les montagnes. Vers 18 :00hre. nous trouvons un petit camping de 6 sites et décidons de nous y installer, nous ne sommes que 2 campeurs. Alors que nous préparons le souper, 3 chevreuils sont venus brouter tout près de nous. C’est ti pas beau ça….. (Bon ben, je pense que je commence à être fatigué), bonne nuit.
Non il n’y a pas eu d’ours qui soit venu dans la nuit (et encore moins de saumon). Ce matin direction Cody, nous cherchons un gym pour nous entrainer. Nous prenons la route 20-14-16 (3 route dans une) direction EST. En sortant de notre camping nous faisons face à des montagnes escarpées, nous sommes dans la forêt national Shoshone, dans le monde des cowboys, nous en voyons qui sont à seller leur montures le long des routes.
Nous roulons jusque dans la vallée de Wapiti et entrons dans le Buffalo Bill State park.
Ici commence le monde du légendaire Buffalo Bill, tout est axé sur ce personnage. Le parc nous fait longer un merveilleux lac et traverser des montagnes par des tunnels, et nous conduit à Cody.
Oui Cody c’est Buffalo Bill, (de son vrai nom Bill Cody), tout est Buffalo Bill ici (même les hamburgers), il y a également son musé. Je crois bien avoir trouvé LA ville western par excellence. C’est une ville de 8,800 habitants, qui ne jure que par Buffalo Bill. Il y a présentement un rodéo en ville, se qui fait que des cowboys y en as beaucoup. Mais nous se qu’on cherche, c’est un gym, il y en a un, au centre récréatif, mais tout un centre récréatif, complet, qui na rien à envier aux grandes villes. Après un bon entrainement et un bon diner, nous décidons de reprendre la route, toujours la 20-14-16 direction EST.
Les premiers miles en sortant de la ville nous font traverser des terres partiellement agricole, mais rapidement le désert reprend le dessu, pour ne faire place qu’a de grandes surfaces secs et arides, nous traversons le bassin Big Horn, c’est un décor qui nous aient familier, a l’horizon nous voyons la chaine de montagne Big Horn vers lesquels nous nous dirigeons.
Après une trentaine de miles dans ce désert, nous arrivons à Emblem , 10 habitants (non, c’est pas un erreur de frappe), c’est ici que le décor change. La route deviens un peu plus sinueuse, il y a des crevasses avec un mélange de collines et montagnes escarpés, nous nous approchons de plus en plus de ces immenses montagnes qui nous semblaient si loin.
Arrivé à Greybull (1,200 habitants) nous traversons une autre petite ville typiquement américaine, rue principal large avec drapeau étoilés de chaque coté, commerces avec façade de style western, annonces publicitaire à néon et surtout leur fast food de burger. Il nous semble que toutes les rues principales des petites villes ont le même look, un peu vieillot, mais…ça à un petit cachet. Bon revenons à notre route, passé Greybull, nous prenons la route 14 EST et, nous commençons notre monté dans les Big Horn, et ça monte longtemps, ce n’est pas des pentes prononcées, mais y montent longtemps, en zigzaguent, après 30 minutes nous montons encore.
Enfin nous ne montons plus, nous circulons sur plusieurs miles sans redescendre.
Et devinez quoi, depuis le début de notre voyage je crois que c’est ici que nous avons vue le plus de bétail. Les vaches et bœufs sont conduit ici pour passer l’été à brouter sur les hauteurs. C’est pour ça qu’il y a beaucoup de chevaux et de camps de cowboys dans les montagnes. Vers 18 :00hre. nous trouvons un petit camping de 6 sites et décidons de nous y installer, nous ne sommes que 2 campeurs. Alors que nous préparons le souper, 3 chevreuils sont venus brouter tout près de nous. C’est ti pas beau ça….. (Bon ben, je pense que je commence à être fatigué), bonne nuit.
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