vendredi 24 septembre 2010

24 septembre 2010

JOUR 156

Ce matin, encore le gym. Nou nous rendons au YMCA de Civington, il est tout neuf, avec un bel équipement également neuf, et en plus de ça, la première visite est gratuite. Après un bon entrainement, direction EST sur la route 64. Nous roulons jusqu'à Lexington. Le paysage de la Virginie nous étonnes beaucoup. Nous roulons sur une autoroute qui traverse que des régions boisés, de la forêt à perte de vue. Nous nous arrêtons pour diner à Lexington et découvrons une très belle ville. Ici, l’histoire de la ville tourne autour de la guerre civil. Les maisons ont gardées leur cachet de style victorienne.

Nous nous promenons dans les rues, dont certaines nous font penser aux rues du vieux Québec. Avoir plus de temps, il nous faudrait rester 2 jours ici pour apprendre à connaître cette ville et découvrir son Histoire, mais, nous avons hâte de voir l’océan Article, nous reprenons la route, toujours la 94 EST. Étrangement à partir d’ici, il y a beaucoup de circulation. Mais, toujours le même décor, de la forêt à perte de vue, avec le feuillage qui commence à changer de couleur, dans une semaine les paysages seront des tableaux d’artiste.
Depuis que nous sommes en Virginie, lorsque nous sommes sur l’autoroute, nous voyons que de la forêt, jamais nous ne pouvons voir des villes ou villages de l’autoroute, il nous faut sortir pour les découvrir. Nous nous surprenons à aimer cette état, c’est certainement l’état la plus plaisante à circuler, que de la forêt très dense. Notre route s’arrête aujourd’hui à Waynesboro, nous trouvons un parc municipale pour relaxer et souper. Dans ce parc il y a une petite rivière, ou deux personnes sont à pêcher. Je converse avec l’homme de couleur d’une quarantaine d’années et nous échangeons sur plusieurs sujets. Tout au long de notre voyage, lorsque nous adressions la parole a des gens, tous furent sympathique avec nous, moi qui croyait les américains, hautains et indépendants, ils sont toujours prêt a donner des conseils et curieux de savoir d’où nous venons. Je suis surpris de voir le nombre de gens, qui ne semblent pas savoir quel langue nous parlons. Nous quittons le parc à la tombé de la noirceur et rejoignons, notre camping, le Walmart.

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