En bus jusqu'a Da Nang

Après un déjeuner au Thanh Binh 3 (encore sur le bras), Manon aujourd'hui elle est en forme, c'est décidé, elle vas se réessayé pour s'acheter un pantalon et un chemisier. Stratégiquement, elle choisi un commerce ou il n'y a qu'une vendeuse. Ici il faut négocier et nous sommes majoritaire, pour un pantalon et 2 chemisiers, prix demandé 620,000 dông, ($31.) prix payé, 300,000 dông ($15.) La revanche de Manon à été terrible.

À 01:30hre. Nous quittons notre hôtel et Hoi An en autobus, direction Da Nang, seulement 30 km plus au nord.

Àpres une heure de route nous arrivons a Da Nang. Se qui nous surprend se sont les nombreux chantiers de constructions. On dirait que cette ville subit un essor économique hors de l'ordinaire. Beaucoup de très gros chantiers de construction, un pont en construction et beaucoup de résidentiel.

Le bus nous débarque dans le centre ville de Da Nan. Nous sommes à 4.8 km de notre hôtel. On s'assois à un café, pour regarder notre trajet de marche. C'est décidé, on enfile de bon bas, on remplace nos sandales par nos espadrille, nous nous chargeons de nos sac à dos, nous prenons le trottoirs direction.......le premier taxi. Non mais faudrait être malade pour marcher sous cette chaleur. Je négocie le tarif de la course pour $5. ( chu rendu pas mal bon).

Nous sortons du centre-ville et 10 minutes plus tard nous sommes sur un boulevard garni de palmier, qui longe une immense et merveilleuse plage. L'effet est surprenante. Nous arrivons à notre hôtel, le Zenta. C'est un tout petit hôtel de 15 chambres, nouvellement construit. De chaque côté et à l'arrière il y a de la construction, les hôtel poussent comme des champignons.

Les gens de l'hôtel sont avenants, et très serviables. Nous sommes accueilli comme c'est pas possible. Ils sont venu nous chercher à notre taxi. La chambre est petite, mais très moderne, surtout la salle de bain, un vrai petit bijoux, surtout pour la somme de $18. (déjeuné compris). Se qui caractérise les bâtisses ici, c'est que tout est construit en hauteur, parce qu'ils paient des taxes que sur la largeur de la façade.

Après une petite pause nous partons arpenter la promenade de palmier qui longe la plage.

Je vous le dit, un petit paradis. Nous soupons dans un petit pub tout près, le Bilabong, de toute façon il n'y a rien d'autre, nous sommes loin de tous les gros hôtels et de l'agitation, à vrai dire, autre que la plage, il n'y a rien, et c'est parfait pour nous.