JOUR 102
Aujourd’hui c’est notre journée, gym. Le YMCA de la place est fermé, beaucoup de magasin d’ailleurs sont fermé. Que cela ne tienne, nous allons nous rendre à la prochaine ville, mais c’est pareil partout, le dimanche les gym et la pluspart des commerces sont fermés. Tant pis, nous continuons notre route sur la 101 sud, direction Astoria. J’ai oublié de vous dire à Sound, nous nous sommes arrêté à un petit quai de pêcheur d’huitre, pour nous acheter deux soupes de chaudrée d’huitre, (nous avons été accueillis par 2 jeunes filles très sympatiques et jasantes) elles étaient écoeurantes (les soupes).
Arrivé à la hauteur de Long Beach, nous décidons de faire un détour pour aller voir la péninsule de Long Beach, (suggestion des jeunes filles de Sound). TRÈS bonne décisions, en entrant dans la petite ville de Long Beach, (qui est très jolie en passant),
nous suivons les indications pour la plage et, une minute plus tard, SURPRISE nous découvrons une immense plage de sable fin, comme nous en avons jamais vue (voyages dans le sud comprise).
Une plage de 28 milles de long, et large comme s’est pas possible, elle pourrait contenir des centaines de milliers de personnes aisément. Et que dire de l’océan, à perte de vue, avec ces grosses vagues qui viennent mourir sur la plage.
Et dire que nous allions passer au coté de ce petit bijou. Nous dinons sur place, en admiration devant ce décor, et décidons, d’un conjointe accord, de resté ici pour la nuit.
Dans l’après-midi, nous visitons la péninsule et tous les chemins que nous prenons, direction de l’océan Pacifique, nous conduit, en une minute, automatiquement sur cette immense plage. Nous arrêtons au port de Nahcotta dans la baie de Willapa et allons au petit centre d’interprétation des huitres. Nous sommes reçu par une dame agée très sympatique (elles ne peuvent pas toutes être jeunes) et nous fournie des explication sur l’élevage de l’huitre et sa cueillette. Nous apprenons que le port ou nous sommes fourni 25% de tous les huitres vendus aux USA, vous devriez voir les montagnes de coquilles d’huitres. Nous retournons souper sur la plage, pour faire certain de conserver en mémoire ces images.
Arrive le temps du couché. Ici il n’y a pas de Wal-mart (j’espère qu’ils n’en auront pas) et des enseignes (no overnight parking) ils en ont partout, faut dire qu’ici ce n’est pas les campings qui manque. Notre défi, trouver une place ou faire notre nid… gratuitement. Nous avons trouvé, une rue en retrait, dont il n’y a aucun panneau, (qui ne dit mot consent) on s’installe ici, mais on ne tentera pas la chance, on laisse le toit baissé. Bonne nuit.
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