samedi 31 juillet 2010

31 juillet 2010

JOUR 101

Bien dormi (aucune marque de morsure dans le cou et on ne craint pas le soleil) on est bon pour faire notre lavage. Mais le soleil n’est pas trop présent, beaucoup de nuages et le temps est frais. Après la buanderie, direction sud sur le hwy 101, destination, the Ho Rain Forest dans le parc national Olympic. Le trajet pour si rendre est d’environs 45 minutes, et nous dévoile un nouveau paysage.


Lorsque nous arrivons dans le parc, c’est vraiment un décor inhabituel qui s’offre à nous, un décor de film d’épouvante. Il y a d’immenses arbres recouvert de mousse, desquels pendent des branches, de gigantesques filaments, leur donnant des airs fantomatiques. Marcher parmi ces fantômes, nous fait découvrir une forêt humide et mystérieuse, (avec les loups-garous l’illusion serait complète).



Ici c’est l’un des rares endroits dans le monde protégé pour les caractéristiques de sa forêt humide, les autres étant au Brésil et au Chili. Il y tombe par année entre 12 à 14 pieds de pluie. Le coup d’œil en vau le déplacement. Nous avons bien aimé.

Après nous décidons de poursuivre notre route vers le sud sur le hwy 101. Nous avions lu sur la Ruby’s beach, et lorsque nous avons vue un indication pour cette endroit, nous avons bifurqué. Décision judicieuse, nous sommes émerveillés, le décor est fantastique et pour la première fois nous avons une vue d’ensemble sur l’OCÉAN PACIFIQUE, (qui soi dit en passant n’est pas si pacifique que ça). C’est un décor de carte postal que nous avons devant nos yeux. Nous avons une immense plage de cailloux polies par les eaux et des rochés sculptés par les vagues agressive qui viennent si frotter. Nous nous assoyons sur un tronc d’arbre échoué sur la grève et admirons le spectacle. Nous pouvons dire que nous avons eu une merveilleuse journée.



Nous quittons ces lieux enchanteurs en se disant que se n’est que le début et poursuivons notre route Aberdeen. C’est une ville situé à l’extrémité de la baie de Grays Harbour, la route 101 y passe en plein centre et ce qui est étonnant de voir, c’est que la majorité des habitations, sont de petites maison, des quartiers pleins de petites maison en bois, certains bien entretenus, d’autre moins bien. Nous n’avons vue que très peu de bâtisse de plus de 2 étages, se qui lui donne l’impression de grand village à cette ville. Mais c’est bien une ville, il y a un Wal-mart, ça tombe bien, il est tard. Bonne nuit.

vendredi 30 juillet 2010

30 juillet 2010

JOUR 100

Il a fait frais cette nuit, j’ai rajouté un autre sac de couchage. Au réveil, le brouillard est présent. Aujourd’hui, c’est notre journée gym. Nous allons au YMCA de la place, nous sommes tombé sur la journée des personnes agées, nous étions les plus jeunes (je sens qu’ici certains vont sourire). Après notre entrainement nous quittons sur la hwy 101 ouest, direction Forks.

En quittant Ports Angeles nous pénétrons dans la forêt qui vas nous conduire au parc national d’Olympia. Nous nous arrêtons pour diner a la plage du lac Cresent et en profitons pour faire une petite sieste (les mauvaises langues vont dire un dodo de ti-vieux). Lorsque nous quittons la plage, nous entrons dans le parc national d’Olympic. La route est belle, le soleil est radieux, nous circulons dans une forêt luxuriante et montagneuse, de temps a autre de chaque coté de la route se dresse vers le ciel d’énormes pins centenaires, nous suivons pendant plusieurs milles (USA), les bords sinueuses des lacs Cresent et Poel.



Nous terminons notre route aujourd’hui au royaume des vampires et loups garou, à Forks, THE LAND OF TWILIGHT, petite ville de 3,100 habitants (vampires et loup-garou exclu). L’auteur des romans Twilight, Stephenie Meyer à utiliser Forks et la région dans la rédaction de ses livres, certaines scène des films ont été tournées ici, on peut même visiter ces lieux, avec tours organisés. Tout dans le village est axé sur Twilight, son magasin contenant que des articles reliés à Twilight, sa pizzeria Twilight, son motel Twilight, son hardware Twilight, et autre. Après souper nous décidons de coucher ici.

Pour dormir nous nous installons en retrait dans un aire de repos de la ville, près d’un petit boisé (vous voyez nous n’avons pas peur), de toute façon se n’est pas la pleine lune, en passant… de la poudre d’ail, ça doit être aussi efficace que des gousses, j’en ai mis autour de la van, (juste pour que Manon se sente en confiance). André pourquoi le couteau sous ton oreillé…pour rien Manon, couche toi.

jeudi 29 juillet 2010

29 juillet 2010

JOUR 99

Nous avons bien dormi et personne n’est venu nous aviser. Ce matin direction le ferry pour Port Angeles Washington. Nous arrivons tôt car nous n’avons pas de réservation. Au port le préposé nous dit qu’il y a une petite chance pour le départ de 10 :30hre. Nous attendons en ligne et passons aux formalités des douanes. Lorsqu’arrive le temps d’embarquer, nous sommes un des derniers à embarquer, les préposés a l’embarquement des véhicules sont habiles à nous empiler. Alors que nous pensons être le dernier véhicule à embarquer, ils réussissent à nous tasser et en font entrer deux autres, un vrai capharnaüm. La traversée dure 90 minutes, tout se passe bien si ce n’est, qu’il y a du brouillard et que le bateau tangue beaucoup, nous devons nous tenir pour marcher, Manon elle, est assise et ne bouge pas (vive les gravol).

Nous arrivons à Port Angeles, ville de 19,000 habitants, qui ressemble à beaucoup aux autres petites villes américaine qu’on a déjà vue.

Ici au port il y a du brouillard et il fait 59 degré F. Nous trouvons un Wal-mart (pas pour se que vous pensez) nous allons acheter des pneus pour notre véhicule et les faires installer. Notre véhicule est prêt en fin d’après-midi, nous avons eu un excellent service et les gens sont sympathique.

Là c’est le temps de trouver un parc pour souper. Ici il y a beaucoup de parc, mais tous les parcs sur le bord de l’eau sont enveloppés de brouillard épais. Nous nous rabattons sur les parc dans la ville, mais peu d’entre eux possèdent des table de pique-nique.
C’est assez on ne cherche plus, on installe notre b.b.q. sur le bord d’une rue et c’est ici qu’on soupe. Les gens trouvent ça comique. Le temps du couché est arrivé, retour au Wal-mart, pourquoi pas, avec l’achat des pneus on doit avoir droit au couché.

mercredi 28 juillet 2010

28 juillet 2010

JOUR 98

Nous avons bien dormi, et vue qu’ils ont été si gentil avec nous, nous allons faire notre grocerie ici. Après la grocerie, direction le bord de mer pour un excursion en vélo. Pendant deux heures, nous longeons le bord de l’eau, nous pouvons voir de belles et grosses résidences, tous construites sur de petit terrain, à croire que tous veulent avoir leur petit bout de bord de mer. Le temps est merveilleux pour une balade en vélo, soleil chaud et vent frais.
Nous prenons notre diner sur le bord de l’eau avec une vue merveilleuse sur cette grande étendu. Au loin, nous voyons des navires circulers avec comme toile de fond, des montagnes enneigées apparaitres au travers un mur de brouillard. Nous en profitons pour faire une petite sieste.

Dans l’après-midi, nous prenons une heure pour circuler en véhicule dans la ville, pour en découvrir tous ces recoins.
Pour terminer la journée, nous nous stationnons dans le chinatown, et chacun pour soi. Manon part à la chasse aux aubaines et moi je vagabonde dans les rues. En fin de journée alors que je suis attablé dans un café Starbuck, le serveur est venu me porter un petit morceau de gateau en me disant, c’est un cadeau…Soi que je lui plais, ou, qu’il ma pris en pitié avec mes cheveux long et ma barbe, de toute façon, le gâteau était bon.

Vers 18 :30hre. nous quittons chinatown pour la dernière fois et nous nous rendons dans le parc Beacon hill pour nous faire à souper. Chanceux, nous avons une très belle vue sur une partie de Criquet. C’est le 1ière fois que nous voyons une partie de criquet, et….certainement la dernière. Nous n’avons rien compris. Ça ce joue sur un terrain rond, tous les joueurs sont en blanc, il y a 2 frappeurs avec des bâtons plats, lorsqu’il frappe la balle, le frappeur cour sans lâcher le bâton et vas toucher le sol avec le dit bâton, 20 pieds devant lui et reviens se remettre en position. Seul le receveur a des gants, il y a près du frappeur 3 bâtons debout enlignés cote à cote, dont leurs seul tâche semble être de nuire et je vous ferez grâce de l’explication du tableau des pointages, le score final 86, 86 quoi!! je sais pas, nous ne savons même pas s’il y avait deux équipes. Nous avons regardé la partie pendant 1 :30hre et nous n’avons rien compris.

Le temps de ce coucher est arrivé. Nous prenons le risque de coucher ici dans le parc, on ne lèvera pas le toit, on passera plus inaperçu et il fait frais, on verra si quelqu’un nous avisera.

mardi 27 juillet 2010

27 juillet 2010

JOUR 97

Bien dormi, malgré les avions qui nous passaient au dessus de la tête, l’aéroport est au plus à 2 km. de nous. Il fait encore beau soleil. Nous sommes seulement à 26 km de Victoria, nous nous mettons en direction en empruntant la route 17 sud, (de toute façon c’est la seul qui descend au sud). 30 minutes plus tard nous entrons dans la ville.

Nous nous dirigeons directement vers le centre d’information (une petite merveille les GPS). Du centre nous avons une belle vue sur port et les édifices parlementaires.
Je crois que la ville va nous plaire. Nous arpentons les rues du centre ville pour nous familiariser, l’ambiance est complètement différent de Vancouver. Ici les rues sont beaucoup plus aérées avec la présence de végétation, c’est propre et les gens semblent beaucoup moins pressés.

Nous poussons notre excursion jusqu’au quartier chinois, ici le Chinatown est plus vieux que celui de Vancouver, mais il est beaucoup plus petit. Nous cherchons un petit restaurant chinois pour diner (pas trop cher évidemment). Nous vous recommandons le FAN TAN CAFE, ne vous fiez pas au look extérieur. Nous avons diné sur le trottoir (sur une table) et avons commandé 2 combos de 3 mets différents (je me dispense de vous les nommés, de toute façon je pourrais pas) se qui importe de savoir, c’est que les assiettes sont grosses et que c’est DÉLICIEUX. Je ne sais pas de quel coin de la chine viennent les chinois d’ici, mais je peu vous garantir qu’ils ne viennent pas du même coin que nos chinois de l’outaouais, ici les mets ont vraiment bon goût et sont épicés. Moi j’ai tout mangé, Manon en à laissé et je n’ai pas fini son assiette (c’est vous dire comment elles étaient grosses).


Le ventre plein, nous avons repris notre marche (a vitesse réduite) en lorgnant dans les magasins. Vers la fin de l’après-midi, nous reprenons notre véhicule et nous dirigeons dans le parc Beacon Hill, ou nous nous installons, pour faire un somme, avec une magnifique vue sur la mer. Après souper, nous trouvons un petit café sur la rue Douglas et regardons les gens passer. Pour coucher le GPS nous dirige directement au Wall-mart ou nous retrouvons nos confrères de camping.

Oui, la ville nous plait. 22 :00hre. on cogne à notre véhicule. Deux agents de sécurité nous font part qu’on ne peu rester pour dormir ici, c’est la politique de la maison. Je comprend maintenant pourquoi nous n’étions que 2 véhicules. Nous partons à la recherche d’un Safeway, grace au botin téléphonique et à notre merveilleux GPS, 30 minutes plus tard, nous en localisons un. Nous prenons pas de chance, nous allons voir un responsable pour la permission, qui nous ai accordé sans réticence. Nous retournons dans les bras de Morphée.

lundi 26 juillet 2010

26 juillet

JOUR 96

Ce matin c’est le jour, il y a une coiffeuse tout prêt, ou nous avons couché. Manon attend l’ouverture du commerce pour aller se faire teindre et couper les cheveux, moi je vais en profiter pour me faire trimer la barbe. Une heure plus tard, tout est fait, Manon ne me parleras plus de ces cheveux, il n’y a plus de blanc qui parait.

Nous quittons Duncan pour Victoria. A partir d’ici, la route se met à monter et descendre, avec des courbes (a rendre une couleuvre malade), nous avons hâte d’arriver a destination. Mais avant d’arriver à Victoria, nous bifurquons, direction les jardins Butchart. Ces jardins font parti des sites historique national du canada et existe depuis plus de 100 ans. Il y a 53 acres de jardins fleuries, des fleurs de toutes variétés, de toutes couleurs, le détour en vau la peine (et les coûts).
 


Dans l’après-midi nous repartons et décidons de poursuivre notre route jusqu'à Sidney. Il nous faut seulement 35 minutes pour arriver à Sidney, nous trouvons un parc pour nous reposer et souper. Après souper direction centre récréatif pour une bonne douche et promenade sur la rue Beacon, l’artère principal de la ville. Ici aussi il y a une très belle marina avec ces bateaux de plaisance. Pour le coucher, pas de Wall-mart, on se rabat sur le Safeaway.

dimanche 25 juillet 2010

25 juillet 2010

JOUR 95

Aujourd’hui on reprend la route, le repos d’hier nous à fait du bien et pas de brulement d’estomac ce matin. Nous empruntons la trans canadien hwy no.1 direction le village de Chemainus et ces fresques mural. Sur la route il y a beaucoup de circulation, et contrairement à d’autre endroit que nous avons visité, ici les gens sont pressés, ça roule.

Nous arrivons (sain et sauf) à Chemainus. Ici l’attraction principal, se sont les peintures mural. Il y en à 39, et il faut l’avoué, elles sont belles. Nous avons marché le village et admiré les peintures, l’attraction attire beaucoup de gens.
Nous avons diner sur place et sommes reparti pour la ville suivante, Duncan. Ici l’attraction principal se sont les totems, il y en a un peu partout, mais nous trouvons ça moins attrayant que les murales, et le centre ville n’est pas très attirant.


Nous décidons de ne pas poursuivre notre route et de coucher à Duncan. Surprise, il y a un Wall-mart. Nous nous installons en retrait, dans le fond du stationnement, au coté d’un beau coin de pelouse verte, à l’ombre d’un arbre. Une place de choix, ce soir on joue le grand jeu, on installe le B.B.Q. au menu saumon (non c’est pas moi qui là attrapé) et brochette de légumes. Manon sort ça chaise de parterre et l’ordinateur, vous voyez le décor, la vie est belle. Nous savons maintenant pourquoi la pelouse est belle et verte. Il est 18 :00hre. c’est l’heure ou les gicleurs sortent de terre et s’actives, il y en a 5 sur ce petit coin de pelouse. C’est la course, sauver le lunch, sauver l’ordi. Hier le souper était brulé, aujourd’hui il est noyé. Farce à part, on a réussi à sauver le lunch et l’ordi.

En soirée Manon se décide à écrire des petits mots à des gens, je lui ai expliqué qu’elle pouvait écrire ces textes sur Word comme je fais, et lorsque nous aurons accès à l’internet, nous aurons seulement à les copier et coller dans le courrier e-mail. Elle trouve l’idée brillante et s’attaque à la tâche. Une heure plus tard, et fière d’avoir terminé, lorsque l’ordi lui demande si elle veut enregistrer les modifications apportées, elle dit non et POUF…tout disparaît, c’est fini. Moi je me roule dans le fond du véhicule, tout est facile avec Manon. Je me couche avec des crampes au ventre.

samedi 24 juillet 2010

24 juillet 2010

JOUR 94

Ce matin nous entamons la seconde moitié de notre voyage, les trois premier mois se sont déroulé sans problèmes majeurs, ça promet pour la suite. Mais pour le moment nous avons un problème à régler. Les cheveux à Manon, elle m’en parle tous les jours. La couleur naturel de ces cheveux apparaît et ça ressemble assez à la couleur de ma barbe. Présentement la game de couleur de ces cheveux va du blanc au brun foncé. C’est sans parler des coupes de cheveux qu’elle se fait elle-même, c’est à suivre.

Aujourd’hui on s’est promis de ne rien faire, magasinage pour Manon, moi je vais m’occuper de faire le ménage…dans l’ordinateur, assis à siroter un bon café sur une terrasse. Dans l’après-midi, promenade dans le centre ville de Nanaimo.
 
Le centre ville passe sur le bord de l’eau, la marina ci trouve, c’est de toute beauté. Ici c’est surtout des bateaux de riches et des voiliers, de quoi rêver (rêver ne coute rien) le coup d’œil en vau la peine. Il fait soleil avec un vent du large qui nous rafraichi.

Il y a beaucoup de gens flanant sur le boardwalk, écoutant les musiciens, jouants pour certain de la guitard, un autre de l’accordéon. Parmi eux se trouve des sculpteurs indigènes nous montrant leur talent, modelant le bois avec seulement un canif. Notre marche nous conduit jusqu’au parc municipal ou il y a des festivités et musique. Par la suite nous allons marcher le centre ville et lorgnons les vitrines.

Pour souper nous nous rendons au Pippers lagoon et nous nous préparons des petites pizzas maison avec pain pita, que nous faisons bruler sur notre B.B.Q. (vous avez bien lue BRULÉ, pain pita carbonisé et fromage pas fondu…… on en parle plus). En soirée, retour au Wal-mart, on fait notre lit, on suce 2 – 3 life saver menthe (pour éliminer le gout de brulé) et dodo.

vendredi 23 juillet 2010

23 juillet 2010

JOUR 93

Ce matin on se dirige vers la buanderie, c’est la journée lavage, pas le choix, nous sommes en manque de bobettes propre. Pendant que Manon s’amuse a la buanderie, moi je travail fort à terminer mes textes, a trouver un accès internet, a répondre aux messages à boire un café, je veu dire qu’il me faut consommer un café pour réussir à passer au travers de la charge de travail que j’ai. Et dire que Manon s’amuse à séparer le blanc des couleurs.

Vers midi, nous quittons Nanaimo pour nous rendre à Coombs en empruntant la route 19 nord. Le trajet est court. Nous avons entendu parler du market de Coombs et voulons le voir par nous même. Arrivé sur les lieux, nous constatons qu’il s’agit d’un market comme l’ancan Larose de Masson en plus petit, avec des bâtisses rustiques.
Mais le plus original ici, ce sont les toits de pelouses et les chèvres. Pour les voir, vous devez regarder dans les hauteurs, plus précisément sur le toit des bâtisses (je préfère les voir là que sur la route).
Il est amusant de voir ces animaux juchés sur les toits alors que les gens sont assis sur la terrasse en dessous à manger. Nous terminons notre visite avec un bon gros cornets qui nous dégouline sur les doigts.

Nous retournons sur nos pas pour nous rendre à la plage de Parksville ou à lieu la compétition annuelle des chateaux de sables. Il y a beaucoup de participant et se sont tous des professionnels, les sculptures sont de toutes beautées.
A la fin de notre journée, nous retournons à Nanaimo et trouvons un petit coin isolé sur le bord du lac Long, pour nous laver. L’eau est bonne et sa fait du bien. Lorsqu’arrive l’heure du couché, direction Wal-mart, pourquoi pas, c’est gratuit.

jeudi 22 juillet 2010

22 juillet 2010

JOUR 92

Au réveil le soleil est absent, il y a de gros nuages noirs qui nous force à modifier la planification de la journée. Nous devions aller nous promener en vélo autour du Stanley park, en revanche nous optons pour une marche dans le chinatown.

La visite en vaut le déplacement. C’est un quartier très coloré, avec leurs marchants de fruits et légumes que nous ne connaissons pas (les légumes je parle), du poissonnier qui étale ça marchandise sur le trottoire, ces boucheries avec ces viandes sèchées et ces poulet laqués suspendus en vitrine, à tout cela ce mêle des odeurs variées de parfums, d’épices, de poissons et autres non identifiés (c’est mieux comme ça).
Par dessue tout, ce que j’aime ici c’est la gaieté qui se dégage de ces gens (ici, je suis sarcastique) pas facile à faire rire ces gens là.

Bon après notre marche et magasinage, ha oui, j’ai oublié de vous dire qu’on a magasiné, ou Manon à magasinée. Elle cherchait une petite robe chinoise. Concernant la longueur des robes, pas de problème, les gens ici ne sont pas grand, ou sa se gâte, c’est au niveau du tour de taille (je ne dit pas que Manon…hoooo, non, elle à encore sa taille de guêpe) (des fois qu’elle voudrait lire ce texte) mais les dames asiatiques eux ont des tailles de moustiques. Moi par contre j’ai essayé des manteaux, c’est au niveau des bras que ça se gatais. Cheveux long, barbe longue et 8 pouces de bras plus long que les manches, j’avais l’air d’un ouran-outang, (c’est le seul temps que je les voyais sourire). Bon passons, tout ça pour dire que on est parti avec un sac de cachous (frais et naturel) délicieuses.

Direction le ferry pour l’ile de Vancouver. Arrivé au ferry nous sommes une bonne cinquantaine à patienter en file au gros soleil pendant 2 heures. (TIPS: Si jamais vous voulez visiter l’ile, faite votre réservation la veille). La traversée se passe bien, duré, 1hre.40min. pas trop houleuse, une couple de gravol et ça vas.

Nous débarquons à Nanaimo et nous rendons immédiatement au centre d’information. Décisions judicieuse, la jeune fille du centre nous indique tous les Wal-mart de l’ile ou nous pouvons coucher gratuitement, et évidemment les centres d’intérêts. Nous soupons sur place avec des lapins de toutes couleurs, il y en a plein sur l’ile.

Après souper, le centre récréatif étant fermé, nous partons à la recherche d’un endroit pour se laver. Nous trouvons hors de la ville, un petit sentier dans les bois qui semble nous conduire vers la mer. Nous stationnons notre véhicule à l’orée du bois et partons à l’aventure. J’ai oublié de vous dire, ici les chevreuils il y en à autant que les lapins, ils sont tout petit, les plus gros sont haut comme des Danois (les chiens je veux dire) et ils se promènent librement dans les rues. Revenons à notre sentier, nous avons croisé 5 chevreuils, nous nous sentions seul dans cette forêt avec cette faune, lorsqu’enfin nous débouchons sur la plage PUBLIC. Nous pouvions descendre un peu plus loin avec notre véhicule, nous qui croyions être seul…. On s’est quand même lavé, à l’eau salé. Par la suite bien rafraichi, nous sommes parti à la recherche de notre Wal-mart, en évitant les chevreuils sur la route. Nous arrivons, il est 20 :00hre. et le Wal-mart à l’air du grand camping. Nous installons notre petit véhicule parmi les mastodontes et dodo.

mercredi 21 juillet 2010

21 juillet 2010

JOUR 91

Nous retournons vers Vancouver avec l’intention de faire du vélo cet l’avant-midi.
Première chose à faire, localisons le Wal-mart près de Vancouver. Nous programmons notre merveilleux GPS (avec sa voix féminine) pour qu’il nous y conduise. Arrivé au magasin, qu’elle affreux stationnement. Nous allons retourner nous stationner au même endroit qu’hier. Malheureusement notre stationnement est condamné ainsi que les chemins environnants, il y a une compétition internationale de feux d’artifice, et ils sont dans les préparatifs, ce soir c’est le tour des USA. Ils s’attendent a avoir plusieurs centaines de milliers de personnes, qui vont envahir les plages. Nous tournons en rond pendant plus d’une heure, à la recherche d’un stationnement. Les parcomètres, il en est pas question, nous voulons partir toute la journée, et à $2. le 30 minutes… Nous trouvons des stationnements municipale mais ils sont souterrain, et leur plafond sont trop bas. Nous trouvons enfin un stationnement dans le quartier des affaires. Mais quand on nous a dit les coûts, nous avons rebroussé chemin ($7.50 l’heure).

Changement de programme, nous allons nous stationner dans le parc Stanley et nous partons pour une bonne marche (pour se défouler).
Nous dinons dans le parc et réorganisons notre journée. Nous rembarquons dans leur Trolley qui va nous conduire au centre aquatic, ici nous prenons une bonne douche. Après on rembarque dans le Trolley bleu qui nous fait visiter la partie ouest de la ville (tour guidé en anglais) Nous passons dans le quartier Chinatown et évidemment, ne nous fait pas passer sur la rue Hasting, ou se trouve les itinérants. Nous débarquons à place du canada, d’où nous pouvons admirer les bateaux de croisière qui quittent Vancouver pour l’Alaska.

Nous retournons dans le parc Stanley récupérer notre véhicule et direction Burnaby. Nous sommes fatigués, l’avant-midi perdue à rouler et chercher un stationnement, nous a exténués (on ai pas fait fort). On se rend jusqu'à notre wal-mart d’hier soir et dodo.

mardi 20 juillet 2010

20 juillet 2010

JOUR 90

Nous avons bien dormis et personne n’est venu, sauf ce matin il y a du vas et viens, les camps d’été sont commencés et ils utilisent ce parc. Nous quittons tôt et programmons notre GPS pour nous guider.

Direction ouest pour Vancouver, nous traversons Burnaby et cette petite merveille de GPS nous conduit directement dans le cœur de Vancouver.
Ici c’est la jungle, je veux dire par là qu’il y a du monde, Il nous faut trouver le centre d’information. On s’en remet à notre petite merveille de GPS, sinon, s’est la crise de nerf garantie. Le centre d’information du centre ville de Vancouver, c’est un cabanon, sérieux, 3 personnes tassées dans cette boite à bouquet. Dire que dans les petites villes ou nous sommes passé, aucun centre d’information n’était plus petite que celle-ci, et que dire du stationnement dans le centre ville, dans le parcomètre $2. pour 30 minutes. À Vernon, Kamloops. Osoyoos et autres, pour $1. c’est 2 heures. Ne laissé surtout pas votre parcomètre tomber à 0, j’ai vue l’efficacité des remorqueurs. Je suis assis dans un café, et j’entend la dame a coté de moi dire MY GOD it’s my car, et partir en courant, la remorque avait eu le temps d’accrocher l’auto et de partir avec. Je demande a mon voisin pourquoi l’auto à été remorqué, il me répond qu’elle a commis l’impardonnable, laisser le parcomètre tombé à 0, ici, ça ne pardonne pas, ça va lui couter entre $200. et $300. pour récupérer sa bagnole. Je suis content d’avoir choisi le stationnement public, même s’il est cher, je promet de ne pas chialer (tant que nous serons à Vancouver).

En partant du centre d’info. On va stationner la van dans un merveilleux stationnement public à seulement $10. la journée, et nous prenons le Trolley (copie des tramways de San Francisco) qui vas nous faire faire le tour de villes avec commentaires (en anglais). Cela semble dispendieux, $43. par personnes pour 2 jours, mais on économise sur les tranquillisants et pilules pour les nerfs. C’est selon nous la meilleure façon de voir la ville. Aujourd’hui nous avons visité la partie ouest avec le Stanley park. C’est vraiment un très beau parc, à ne pas manquer si vous venez à Vancouver, idéal pour les promenades à pieds ou en vélo, ou encore en auto. Ce parc est plus grand que le central park de New-York.
 

Dans l’après-midi nous optons pour le magasinage sur la rue Robson (LA rue des magasins). Cette rue est possiblement la plus achalandée de la ville. Pendant que Manon entre dans les magasins, (pauvre Manon, après 2 hre. elle est brulée et elle n’a fait que la longueur de 2 coins de rue), moi, je m’amuse à observer les gens et je ne me lasse pas.
C’est vraiment une ville cosmopolite. Je vois des gens de toute nationalitée, entend parler toutes les langues, des gens communs aux plus excentriques, c’est celui qui à l’accoutrement la plus bigarrée. De l’homme d’affaire avec chemise blanche, cravate, habit 3 pièces et gougounes aux pieds, de la dame agée, bien maquillée, (sortie tout droit du film de Grease) portant une robe à franges rose, espadrilles blanche, bandeau dans ces cheveux longs et blond, sans oublier l’homme à camisole et culotte court avec bas et sandales aux pieds (non, c’est pas moi) et que dire de ces jeunes filles légèrement vêtues avec chemisiers a bretelles (je ne fait que rapporter se que j’ai constaté) surtout ne pas oublier le caniche déambulant fièrement avec espadrilles rose aux pattes. C’est fou et je m’amuse. Je vois des gens pressés, des gens flanants, des travailleurs, des touristes, des gens avec des les bras pleins de leurs achats… mais, parmi cette foule il y a ceux que l’on vois sans les voirs, ceux que l’on ne veux pas voir. Les plus braves d’entre eux se glisse dans cette meute de gens biens nantis. Vont fouiller les poubelles, quémander aux coins d’une rue, leur présence ne semble plus déranger, ils font maintenant parti du décor. Mais, attention à ce que ce décor ne devienne se que nous voyons sur la rue Hasting est, dans le Chinatown.
Ici, s’est l’autre monde, celui des miséreux, des laissés pour comble, il y en a des centaines, accotés, assis ou couchés le long des bâtisses délabrées. Nous qui pensions en avoir beaucoup à Ottawa, nous sommes gâtés. Arrêtons ici ce broyage de noir, nous sommes en vacance et voulons voir de belles choses.

Après cette escapade vers les magasins, il faut penser à souper et trouver un coin pour dormir. Pour souper, pas de problème, nous nous préparons un bon spaghetti dans notre merveilleux stationnement, sous le pont Burrant street. Ou ça se complique, c’est quand nous devons trouver un Wal-mart et l’informateur de Manon nous dit que la plus proche se trouve à Burnaby, + ou – 10 km à l’ouest qu’il y en a pas à Vancouver. Nous nous dirigeons vers Burnaby à la recherche du Wal-Mart. Je vous avoue que nous n’avons jamais vue un Wal-Mart aussi bien caché, incroyable, pas surprenant qu’il n’y ai pas de RV ici, ils ne l’ont pas trouvé. Nous allons au Wal-mart nous informer s’il y a un magasin plus près de Vancouver, la dame me dit que oui, qu’il y en a un dans Vancouver et me donne même l’adresse. (Je recommande à Manon, dorénavant, de valider ces informations). Je dois par contre avouer à sa décharge, que le fait que nous étions dans un hôpital (pour téléphoner) et que le type à qui elle a parler était en jaquette avec un poteau de sérum à roulette, aurait du éveiller des doutes, mais, passons.

En sortant du Wal-mart, un jeune couple nous abordes en nous demandant l’aumône, toute la journée nous avons feint de les ignorers, nous pourrions encore passer notre chemin…tenez, prenez cette poignée de monnaie, on dormira mieux ce soir.

lundi 19 juillet 2010

19 juillet 2010

JOUR 89

Bien dormi. Ce matin Manon me suggère qu’on aille au gym, elle dit qu’on en a besoin…(je pense que c’est un message), elle me dit que dorénavant on vas s’obliger à aller au gym au moins 2 fois semaines.

On se rend au centre sportif de la ville, très bien équipé, en plus on a eu droit aux tarifs, senior citizen, on dit bien SENIOR et pas OLD (je suis certain que parmi vous il y en a qui souri, mais passons), après l’entrainement, encore la grocerie et diner dans le parc. Après diner on se rend dans un café pour regarder et envoyer des messages, et, après, direction vers Vancouver par la route 7 ouest. C’est une route secondaire qui nous rallonge, mais qui nous permet d’admirer le paysage. Avant de quitter Hope, nous aurions aimés, filmer et photographier les montagnes environnants la ville, mais depuis ce matin, un brouillard les recouvrent et ne semble pas vouloir se dissiper. Souvent durant notre voyage nous avons retrouvé ce brouillard qui persistait et ne disparaissait qu’à la fin de la journée. En quittant Hope la route est basse dans la vallée Fraser et droite, se qui nous change des montagnes russes.

Sur cette route nous revoyons des fermes de cultures et des vergés. Nous en profitons pour refaire notre plein de cerises de France, (30 minutes plus tard on les a tous mangés). Passé la ville de Mission la route se met subitement à monter (pas a peu près) sur plusieurs kilomètres et en zigzagant. Quand nous redescendons la circulation semble devenir plus dense et nous traversons des villes. Nous arrêtons à Pitt Meadows pour la journée. Nous sommes à environs 45 km. de Vancouver.

Nous allons attendre demain matin pour entrer dans la grande ville. Nous soupons au centre d’information et en profitons pour lire se que nous avons sur Vancouver. Nous voulons planifier notre séjour, sans avoir continuellement à chercher. Pour coucher ce soir, s’est pas dur on s’installe sur le stationnement du terrain de balle de la municipalité, on verra si on va nous aviser.

dimanche 18 juillet 2010

18 juillet 2010

JOUR 88

Mal dormi cette nuit, il y a eu beaucoup de vent, a un point tel que nous pensions fermer le toit. D’ailleurs toute la journée il a venté, malgré un chaud soleil.
Nous quittons Keremos et ces vergers en prenant la route 3 ouest, direction Hope. La route est toujours aussi sinueuse, et les paysages aussi beau, nous sommes dans le creux de la vallée, ici les vergers se font plus rare et la forêt plus abondante.

Après une heure de route nous arrivons à Princeton 4,500 habitants, une petite ville de cowboy, nous prenons une pause au COWBOY CAFÉ. Nous repartons sur la route 3 ouest en espérant trouver un endroit près de l’eau pour diner. Nous voyons sur la carte que nous longeons la rivière, mais se que nous ne s’avions pas, c’est qu’a partir d’ici, la route monte dans les montagnes, et elle ne fait pas que monter, elle tourne et retourne, de vrai montagnes russes. Moi je conduis et Manon freine. Lorsque nous redescendons dans la vallée, nous trouvons enfin un endroit dans le parc provincial Manning pour diner et se reposer. Quand nous repartons et sortons du parc, nous recommençons nos montagnes russes. Une chance que le paysage est beau.

Nous arrivons enfin a notre destination de la journée Hope 7,000 habitants,
c’est une belle petite ville, c’est ici que le premier film de Rambo (True blood) à été tourné en 1982. Du centre de la ville nous pouvons voir les montagnes qui sont tout près. Nous trouvons un endroit pour se faire un b.b.q. dans le parc du centre ville, mais il vente tellement que nous devons manger dans notre véhicule. Arrive le temps de se coucher, nous localisons un endroit près de la route transcanadienne avec une petite vue sur les montagnes. Ne soyons pas trop difficile, on ne peu pas toujours avoir une vue magnifique.

samedi 17 juillet 2010

17 juillet 2010

JOUR 87

Nous avons très bien dormi et nous réveillons avec un merveilleux décor sous un chaud soleil. Après déjeuner, alors que nous sommes sur le point de partir, nous avons la visite d’un jeune et sympathique gendarme de la GRC. Il viens nous aviser que nous ne pouvons rester ici, que cette route est un runaway road, qui est utilisé par les camions lourds, qui lorsqu’il descendent la montagne, si leur freins sont défectueux, ils empruntent la runaway road pour s’arrêter. Je le remercie chaleureusement en lui disant que grace à lui, on a peut-être éviter un désastre, et que nous quittons immédiatement les lieux, il s’en ai retourné fièrement à sa monture, excusé, à son auto. Se qui me fait dire (sans méchanceté) qu’à partir de 17 :00hre, hier, à 09 :00hre ce matin il n’y a eu qu’une auto de patrouille qui est passé, car nous étions très visible de la route. Tant mieux pour nous.

Ce matin, c’est le gym. La ville possède un beau petit gym dans leur centre de loisir. Après nous dinons sur le bord du lac pour une dernière fois et nous quittons Osoyoos par la route 3 ouest, direction Princeton.
En quittant la ville, la route se met à monter, nous avons une dernière vue magnifique sur la ville et la vallée, nous quittons ces lieux avec de belles images en tête (et dans la caméra).
Nous quittons la vallée d’Okanagan pour entrer dans la vallée de Similkameen, qui n’a rien à envier à sa voisine. Nous savons qu’on se répètes, mais, le paysage est merveilleux. La route, sillonne le fond de la vallée, en longeant les montagnes et se promenant entre les champs de fruits.

Nous nous rendons jusqu’au village de Keremeos, 1,300 habitants. C’est un petit village paisible, ici le touriste ne fait que passer. Il y a bien un camping $1. la nuit, mais c’est surtout pour les cueilleurs de fruits, dont beaucoup de jeunes québécois. Nous allons nous reposer un peu dans le parc de la ville en attendant la pizza que l’on a commandé pour plus tard. Une dame agée, d’origine polonaise, viens nous tenir compagnie et nous raconter sa vie. Après souper, une marche dans le village et c’est la recherche d’un coin pour dormir. Nous le trouvons au bout d’un chemin, sur le bord de la rivière Similkamen, séparé de la montagne par un champ de vigne.

vendredi 16 juillet 2010

16 juillet 2010

JOUR 86

Aujourd’hui, nous passons la journée à Osoyoos, à ne rien faire, il y a de belles plages, profitons en. Après s’être payé un déjeuner (pour la première fois) au restaurant Husky (pas mangeable et chère) on se rend au bord de la plage, pour nous permettre d’avoir une place de stationnement. Nous laissons notre véhicule sur place et enfourchons nos vélos pour une promenade en ville, avant qu’il fasse trop chaud. Après 2 heures de vélo, nous revenons à la plage pour faire la crêpe. Nous passons la journée à la plage et prenons des marches. Lorsque nous quittons la plage en fin d’après-midi, nous voulons avoir une vue d’ensemble de la ville.

Nous nous aventurons sur la route 3 est, qui grimpe dans la montagne, et nous montons sur une route sinueuse pendant 10 km. Plus nous montons, plus le paysage se dessine. Arrivé au sommet de la route, la vue est INCROYABLE, nous voyons au-delà de la ville et de son lac, nous pouvons admirer la vallée, dans toute sa splendeur.
Lorsque nous redescendons vers la ville, au bas de la route, il y a une route de sable, qui monte droit en montagne avec un panneau (runaway road) Nous empruntons cette route pour 200 mètres et arrêtons dans un cul de sac.
Parfait, nous avons trouvé notre site pour la nuit avec une belle vue sur la ville. Ici, il n’y a de la place que pour un véhicule… le notre.

jeudi 15 juillet 2010

15 juillet 2010

JOUR 85

Bien dormi, personne ne nous a trouvé. Nous repartons en empruntant le Boucherie road qui est une route de vignoble. Première arrêt, le vignoble Mount Boucherie, 300 acres de vignes. Après une dégustation, nous arrêtons notre choix sur un Sweigelt 2007 (sa se dit bien dans une conversation, mais je n’y connais rien). Il fait très chaud, nous repartons et trouvons une plage pour se baigner à Westbank, l’eau est bonne. Nous dinons sur place et repartons pour rejoindre la route 97 sud.

Nous sommes toujours dans la vallée d’Okanagan et longeons le lac Okanagan.
En cour de route, nous arrêtons dans un verger de cerisiers pour une cueillette de cerise de France. Pour $3.50 nous en avons pour manger pendant 2 jours. Nous traversons les villes de Peachland et Summerland, ici les champs de cultures fruitiers se mèlent aux champs de vignes. En regardant de l’autre coté du lac, aux pieds des montagnes, nous voyons des champs biens cadrés dans lesquels se retrouve bien enligné des arbres de divers fruits.



Arrivé à Penticton, nous nous permettons un détour pour voir le centre ville, c’est beau, mais, c’est une ville, On ressort aussitôt. C’est a partir d’ici qu’il y a beaucoup plus de champs de fruit, il y en a de chaque coté de la route, des cerisiers, des abricotiers, pêchers, pommiers et autres. Nous roulons jusqu'à Olivier, et nous rendons à la vignoble de Jackson-Triggs pour un autre dégustation.


Ici ils cultivent 1,200 acres de vignes. Nous achetons une bouteille de Shyraz. Nous continuons notre route jusqu’à Osoyoos, sur le bord du lac du même nom. La ville est belle, le paysage est toujours aussi beau. C’est une journée très chaude sans vent. On se rend à la plage publique pour se baigner, ou plutôt une des plages, il y en a beaucoup. L’eau est bonne, il semblerait que le lac Osoyoos est le lac le plus chaud au canada, (je l’ai trouvé pourtant froid). Nous avons fait cuir notre saumon (que j’ai acheté et non attrapé) sur notre b.b.q. sur le bord de la rue pour ne pas perdre notre place, il y a beaucoup de gens. Lorsque le soleil s’est couché, nous nous sommes déplacés rejoindre d’autre campeurs au Husky truck stop pour passer la nuit.