samedi 17 juillet 2010

17 juillet 2010

JOUR 87

Nous avons très bien dormi et nous réveillons avec un merveilleux décor sous un chaud soleil. Après déjeuner, alors que nous sommes sur le point de partir, nous avons la visite d’un jeune et sympathique gendarme de la GRC. Il viens nous aviser que nous ne pouvons rester ici, que cette route est un runaway road, qui est utilisé par les camions lourds, qui lorsqu’il descendent la montagne, si leur freins sont défectueux, ils empruntent la runaway road pour s’arrêter. Je le remercie chaleureusement en lui disant que grace à lui, on a peut-être éviter un désastre, et que nous quittons immédiatement les lieux, il s’en ai retourné fièrement à sa monture, excusé, à son auto. Se qui me fait dire (sans méchanceté) qu’à partir de 17 :00hre, hier, à 09 :00hre ce matin il n’y a eu qu’une auto de patrouille qui est passé, car nous étions très visible de la route. Tant mieux pour nous.

Ce matin, c’est le gym. La ville possède un beau petit gym dans leur centre de loisir. Après nous dinons sur le bord du lac pour une dernière fois et nous quittons Osoyoos par la route 3 ouest, direction Princeton.
En quittant la ville, la route se met à monter, nous avons une dernière vue magnifique sur la ville et la vallée, nous quittons ces lieux avec de belles images en tête (et dans la caméra).
Nous quittons la vallée d’Okanagan pour entrer dans la vallée de Similkameen, qui n’a rien à envier à sa voisine. Nous savons qu’on se répètes, mais, le paysage est merveilleux. La route, sillonne le fond de la vallée, en longeant les montagnes et se promenant entre les champs de fruits.

Nous nous rendons jusqu’au village de Keremeos, 1,300 habitants. C’est un petit village paisible, ici le touriste ne fait que passer. Il y a bien un camping $1. la nuit, mais c’est surtout pour les cueilleurs de fruits, dont beaucoup de jeunes québécois. Nous allons nous reposer un peu dans le parc de la ville en attendant la pizza que l’on a commandé pour plus tard. Une dame agée, d’origine polonaise, viens nous tenir compagnie et nous raconter sa vie. Après souper, une marche dans le village et c’est la recherche d’un coin pour dormir. Nous le trouvons au bout d’un chemin, sur le bord de la rivière Similkamen, séparé de la montagne par un champ de vigne.

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